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8. Réécrivez le texte suivant, en commençant
par « Quand j'étais jeune... » et en utilisant
l'imparfait de l'indicatif :
J'ai l'habitude de sortir tard le soir. Je vais par les
rues enfin silencieuses de Paris, et je rêve aux
poèmes de Verlaine. La lune éclaire les toits de
zinc et les cheminées fument. Des chats, que la
nuit rend gris, chassent librement et miaulent
d'étrange façon. Le hasard guide souvent mes
pas jusqu'a un café où de pauvres solitaires
refont leur vie. Ensemble, nous attendons
l'aube, et nous buvons.

Sagot :

Réponse:

Quand j' étais jeune, j' avais l'habitude de sortir tard le soir. J' allais par les

rues enfin silencieuses de Paris, et je rêvais aux

poèmes de Verlaine. La lune éclairait les toits de

zinc et les cheminées fumaient . Des chats, que la nuit rend gris, chassaient librement et miaulaient d'étrange façon. Le hasard guidait souvent mes

pas jusqu'a un café où de pauvres solitaires

refaisaient leur vie. Ensemble, nous attendions

l'aube, et nous buvions.

Réponse:

"Quand j'étais jeune, l'habitude de sortir tard le soir. J'allais par les rues enfin silencieuses de Paris, et je rêvais aux poèmes de Verlaine. La lune éclairait les toits de zinc et les cheminées fumaient. Des chats, que la

nuit rendait gris, chassaient librement et miaulaient

d'étrange façon. Le hasard guidait souvent mes

pas jusqu'à un café où de pauvres solitaires

refaisaient leur vie. Ensemble, nous attendions

l'aube, et nous buvions."