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Sagot :
Réponse:
Journal de bord de Mark Watney, Jour 2Je me suis réveillé ce matin avec une étrange sensation de calme. Peut-être parce que je suis encore sous le choc de la solitude, ou peut-être parce que je commence déjà à m'habituer à ma nouvelle réalité. Quoi qu'il en soit, je dois me concentrer sur les tâches à accomplir. Ma survie dépend de ma capacité à m'adapter.Premièrement, il faut que je m'assure d'avoir suffisamment de nourriture. Les rations que j'ai ne dureront pas éternellement, donc je dois réfléchir à un moyen de cultiver mes propres vivres. Heureusement, nous avions apporté quelques pommes de terre pour Thanksgiving. Elles seront mon point de départ. J'ai déjà une idée en tête : utiliser la terre martienne, que je dois enrichir avec des nutriments, et les restes biologiques que je pourrais recycler. C’est risqué, mais c’est la seule option.Ensuite, l'eau. Sans eau, les pommes de terre ne pousseront pas, et moi non plus je ne survivrai pas longtemps. Le système de l'HAB est capable de recycler une partie de l'eau, mais ce n'est pas suffisant. Je dois trouver un moyen de produire plus d'eau. La solution la plus viable semble être de fabriquer de l'eau à partir de l'hydrazine stockée dans les roquettes. En séparant l'hydrazine en azote et en hydrogène, puis en faisant réagir l'hydrogène avec l'oxygène, je peux obtenir de l'eau. Ce processus est dangereux, mais je n'ai pas le choix.Je dois aussi penser à l'énergie. L'HAB est alimenté par des panneaux solaires, mais leur efficacité est limitée par les tempêtes de poussière fréquentes sur Mars. Je vais devoir régulièrement nettoyer les panneaux et peut-être même rationner l'énergie pendant ces tempêtes pour éviter de me retrouver sans électricité.La communication est un autre problème crucial. La connexion avec la Terre est coupée, et je ne peux pas me permettre de rester isolé. Je vais tenter de réparer le Pathfinder, un ancien rover qui se trouve à plusieurs kilomètres de l'HAB. Si je parviens à le réactiver, je pourrais rétablir un contact avec la NASA. C'est une mission périlleuse, mais elle en vaut la peine.Enfin, je dois maintenir ma santé mentale. Être seul sur une planète déserte peut briser le moral de n'importe qui. J'ai décidé de me fixer des routines : une heure d'exercice chaque jour, des sessions de journal pour organiser mes pensées et des moments de détente avec les films et la musique que nous avons apportés. Chaque petit rituel est une ancre à laquelle m'accrocher.C'est ainsi que je passe ma deuxième journée sur Mars : en établissant des plans, en préparant l'avenir et en me battant pour chaque jour supplémentaire. Je refuse de laisser cette planète stérile devenir ma tombe. J'ai encore beaucoup à faire, mais avec de la détermination et de l'ingéniosité, je crois que je peux survivre. C'est le début d'une longue aventure, mais je suis prêt à relever le défi. Fin du journal de bord pour aujourd'hui.
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