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Sagot :
Nous avions appris que la bataille venait de se terminer.Six mois que j'attendais ce moment .
Guilbert allait bientôt rentrer, je parcourais ma chambre, anxieuse.J'avais mis les habits neufs pour
l'accueillir divinement je guettais par la fenêtre son retour.Mon chevalier , mon tendre époux ! !
Et tout à coup, je le reconnus au loin.Je courrus le rejoindre sur le chemin.Mon coeur battait si
fort, que les champs aux alentours l'entendaient sûrement. Mes mains tremblaient ,je retenais le grand carré de toile que je portais autour de ma tête,et qui dans ma couse menaçait de tomber . j'avais du mal à reprendre son souffle car mon corset trop serré sur ma taille, m'empêchait de bien respirer.
Enfin il arrivait, , il avait à la main le grand étendard que je lui avait cousu avant son départ,il s'approchait , le sourire aux lèvres.Sa barbe avait poussé, ses cheveux aussi. Je cherchais sur son corps une blessure , une épée qui serait passée à travers son haubert.Mais je ne vis rien.Son heaume pendait sur le flan de son cheval.Il leva son bras en l'air sa main tenant son écu , et il cria" Cunégonde , je suis de retour, vient ma mie, vient ".Timide, de ses retrouvailles et excitée à la fois de le revoir j'avançais plus vite.
Il n'avait pas sa lance , elle devait être dans le corps d'un ennemi, mais son épée pendant sur le coté de son corps.
je contatais que son destrier , son cheval si robuste, ne semblait pas avoir trop souffert de la guerre , il portait toujours son caparason que Guilbert lui avait mis avant de partir.
J'était tout près de mon chevalier maintenant, il était descendu de cheval,,avait posé son étandard et me regardait.il dit seulement: " tu as vu je n'ai pas perdu l'étendard que tu m'as cousu, j'ai l'ai toujours tenu dans ma main, tu m'as manqué mais il fallait mener le combat.
Allons maintenant festoyer de notre victoire, de nos retrouvailles, et tiens moi la main.Moi qui du chateau ait la plus belle des femmes.
Voilà mes idées.
GUilbert
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