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4COMPLETER LES RIMES

Complétez les vers suivants en choisissant parmi les rimes qui vous sont données dans le désordre.

EXTRAIT 1-Abeille, baiser, Kate, palis, reposer, jolis, délicate, veille
J'ai peur d'un baiser
Comme d'une ...
Je souffre et je...
Sans me...
J'ai peur d'un...
Pourtant j'aime...
Et ses yeux...
Elle est...
Aux longs traits...
Oh! que j'aime Kate!

D'après Paul Verlaine (1844-1896),extrait de Romances sans paroles (1874).

EXTRAIT 2Hugo dénonce le travail des enfants.
Éternellement, meules, maigrit, mouvement,seules, rit.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne...?
Ces doux êtres pensifs, que la fièvre...?
Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer...?
Ils s'en vont travailler quinze heures sous les ...;
Ils vont, de l'aube au soir, faire...
Dans la même prison le même....

D'après Victor Hugo (1802-1885),extrait des Contemplations (1856).

Sagot :

### EXTRAIT 1
J'ai peur d'un baiser
Comme d'une **abeille**.
Je souffre et je **veille**
Sans me **reposer**.
J'ai peur d'un **baiser**.
Pourtant j'aime **Kate**
Et ses yeux **jolis**.
Elle est **délicate**
Aux longs traits **palis**.
Oh! que j'aime Kate!

### EXTRAIT 2
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne **rit**?
Ces doux êtres pensifs, que la fièvre **maigrit**?
Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer **seules**?
Ils s'en vont travailler quinze heures sous les **meules**;
Ils vont, de l'aube au soir, faire **mouvement**
Dans la même prison le même **éternellement**.

D'après Paul Verlaine et Victor Hugo.

EXTRAIT 1

J'ai peur d'un baiser

Comme d'une abeille

Je souffre et je veille

Sans me reposer

J'ai peur d'un baiser

Pourtant j'aime Kate

Et ses yeux jolis

Elle est délicate

Aux longs traits pâlis

Oh! que j'aime Kate!

EXTRAIT 2

Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit?

Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit?

Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules?

Ils s'en vont travailler quinze heures sous les meules;

Ils vont, de l'aube au soir, faire mouvement

Dans la même prison le même éternellement.

D'après Paul Verlaine (1844-1896), extrait de Romances sans paroles (1874).

D'après Victor Hugo (1802-1885), extrait des Contemplations (1856).