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leurs maris, habituées de cette
gargote à prix fixe. » (L.7 à 10)
3ème mouvement (L.11 à 20)
<< Lorsqu'il fut sur le trottoir, il
demeura un instant immobile, se
demandant ce qu'il allait faire. >>
(L.11 à 12)
<< On était au 28 juin, et il lui restait
juste en poche trois francs quarante
pour finir le mois. Cela représentait
deux dîners sans déjeuners, ou deux
déjeuners sans dîners, au choix. >>
(L. 12 à 14)
<< Il réfléchit que les repas du matin
étant de vingt-deux sous, au lieu de
trente que coûtaient ceux du soir, il
lui resterait, en se contentant des
déjeuners, un franc vingt centimes
de boni, ce qui représentait encore
deux collations au pain et au
saucisson, plus deux bocks sur le
boulevard. C'était là sa grande
dépense et son grand plaisir des
nuits; et il se mit à descendre la rue
Notre-Dame-de-Lorette. » (L. 14 à
20)
majeurs du réalisme > mettre en scène des
classes sociales modestes voire pauvres comme
personnages de roman (= vraie révolution.
Jusque là l'art ne s'intéresse qu'au « sublime >>
(cf. Hugo) càd à ce qui est élevé, ce qui est
considéré comme noble).
Indécision due à son manque de moyen présenté
plus en détail dans la phase suivante.
Date sans préciser l'année =contemporanéité
temporelle > le récit se déroule à la même époque
que celle de son écriture > réalisme.
Fin de mois difficile, ne lui reste pas suffisamment
d'argent pour manger aux deux repas de la journée.
Devra faire un choix et se priver de l'un des repas.
= insiste sur l'indigence (=pauvreté) du personnage.
Se livre alors de minutieux calculs pour pouvoir
s'offrir le plus de repas possibles. Cherche à
économiser au mieux.
S'offrir une bière reste un luxe qu'il peut à peine se
permettre. Le n.c « bocks » apporte une information
sur l'époque - fonction informative incipit
(quand ?): XIXe - réalisme.
➤ Deux lieux cités = réels > situent l'histoire à Paris.
D'ailleurs, le boulevard des Italiens est tellement
identifiable pour le lecteur de l'époque que le
narrateur ne prend pas la peine de préciser et
utilise seulement le terme « boulevard >>.
Quant à « la rue Notre-Dame-de-Lorette >>>
renvoie à un autre besoin qu'éprouve Duroy, à
part celui de manger, c'est celui d'avoir une
femme.
Participe présent.
date
Adverbe
Conj Coord° +
Locution adverbiale
Répétition prép°
négative
Champ lexical de la
réflexion + chp lexical
de l'argent.
Vocabulaire daté.
Toponymie (nom de
lieu) réelle.
ème mouvement (L.21 à 28)
« Il marchait ainsi qu'au temps où il
portait l'uniforme des hussards, la
poitrine bombée, les jambes un peu
entrouvertes comme s'il venait de
descendre de cheval; » (L.21 à 23)
« et il avançait brutalement dans la
rue pleine de monde, heurtant les
épaules, poussant les gens pour ne
point se déranger de sa route. »>
(L.23 à 24)
<< II inclinait légèrement sur l'oreille
son chapeau à haute forme assez
défraîchi, » (L.25)
Portrait psychologique : Nouvelle référence à
son passé d'ancien militaire, retour sur sa virilité
doublée de l'idée d'arrogance mise en relief par
Ce passage met l'accent sur la brutalité de
Duroy, bousculant les passants ainsi que sur sa
détermination, il avance en n'hésitant pas à
écraser ceux qui restent sur son passage.
Un air canaille se dégage de sa façon de porter son
chapeau. Accessoire qui marque sa volonté
d'appartenir à une classe sociale dont il ne fait pas
partie. En effet, l'aspect usé souligne sa pauvreté.
D'autre part, la mention du type de chapeau permet
de dater une nouvelle fois le texte fonction
informative incipit (quand ?) : XIXe - réalisme
Participe passé (p.p)
Chp lexical brutalité
Verbe déranger +
négation.
Verbe
G.N
inc

Fait moi un plans détaillé