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Sagot :
Réponse:
1. L'hypothèse est que la résistance de l'air, ainsi que la position du corps du base jumper, freinent sa chute.
2. Le système étudié est le saut en base jump.
3. À partir des figures 1 et 2, on peut associer chaque étape du saut à une valeur de vitesse en observant la courbe de vitesse représentée. Par exemple, la première étape (le saut initial) correspond à une vitesse initiale élevée, puis la vitesse diminue progressivement jusqu'à l'ouverture du parachute.
4. La durée et la vitesse maximales atteintes au cours du saut étudié sont indiquées dans les données du DOI.
5. L'interaction avec l'air peut être négligée au début de la chute car la vitesse initiale du saut est très élevée, ce qui signifie que la force gravitationnelle est prédominante par rapport à la résistance de l'air.
6. Chaque information apportée par le DOI du saut peut être exprimée en une phrase, par exemple : "Le sauteur a atteint une vitesse maximale de X m/s à une altitude de Y mètres."
7. L'action de l'air est répartie, car elle agit sur toute la surface du corps du sauteur.
8. Le DOI du sauteur lorsque la voile est ouverte peut être construit en considérant les forces et les vitesses impliquées dans cette configuration spécifique.
9. Il y a une vitesse maximale pour le sauteur lors de son saut en raison de l'équilibre entre la force de gravité et la résistance de l'air. Mon hypothèse était partiellement correcte, car la résistance de l'air est en effet un facteur important, mais d'autres variables peuvent également influencer la vitesse maximale atteinte.
B Bilan : Il serait plus dangereux de faire du base jump sur la Lune que sur Terre, car la gravité est beaucoup plus faible sur la Lune, ce qui signifie que le sauteur atteindrait des vitesses beaucoup plus élevées lors de la chute. De plus, l'absence d'atmosphère sur la Lune signifie qu'il n'y aurait aucune résistance de l'air pour freiner la chute, rendant le saut encore plus imprévisible et potentiellement plus dangereux.
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