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I] Corneille (1606-1684)

a- Education
Corneille naît le 6 juin 1606 à ………… dans une famille d’avocats. Il est l’aîné de la famille. Il reçoit une éducation jésuite où l’enseignement est basé sur l’apprentissage du ………………….. . Là-bas, il est initié au ………………….. par les Jésuites eux-mêmes qui adorent cet art.
En 1628, malgré son désir de devenir ………………….., sa famille l’oblige à être …………….. .

b- Le succès !
A ……….. ans, il écrit Mélite qui remporte un énorme succès à Paris. Désormais chaque saison voit une nouvelle pièce de Corneille.
En 1635, le puissant ministre de Louis XIII, …………………….., le fait entrer dans la prestigieuse « société des cinq auteurs », chargé d’illustrer le théâtre français.

c- Les soucis…
L’année………… voit naître Le Cid, tragi-comédie. C’est un tel ………………… que le théâtre du Marais à Paris ne désemplit pas pendant plusieurs ………. . Le roi donne un ………..... de ………………. au père du dramaturge.
Mais les rivaux déclenchent la « querelle du Cid » en accusant Corneille d’avoir……………………………………………………… . Richelieu met un terme au débat, mais Corneille, blessé, n’écrit plus jusqu’en 1640.

d- La reconnaissance
C’est la tragédie qui devient le cheval de bataille de Corneille avec :-………………..
-………………..
-…………………
C’est la gloire. A ………… ans, en 1641, il se marie avec Marie de L……………….., avec laquelle il aura …… enfants.
Mais le roi…………………… et son ministre………………………. meurent. Heureusement, M…………………, le nouveau ministre, lui donne une pension.
Corneille est élu à l’Académie Française en 16….. .
1648-1652 : c’est la Fronde, des nobles se dressent contre le pouvoir royal et Corneille n’est plus au centre des esprits. Il en profite pour traduire une œuvre religieuse latine :……………… de …………………… qui sera un succès de librairie.

e- La gloire et le déclin…
1656, retour au théâtre avec La C……………….. de la T…………….. d’……. .1659, O…………….. est une tragédie écrite pour F……………………, ministre des finances de Louis XIV.
Corneille rencontre M…………………., obtient la protection de L……………… .
Mais à partir de 16………, de jeunes auteurs, M…………………. et R………………… deviennent des auteurs à la mode et supplantent peu à peu Corneille.
En 1674, sa dernière tragédie, S……………… est froidement accueillie. Il est démodé. Le 1er octobre …………………, Corneille meurt à Paris à l’âge de ………… ans. Racine prononce à l’A……………….. F…………………… un discours élogieux en l’honneur du grand dramaturge.


II] Une pièce exceptionnelle

a- Origines
D’abord, un personnage réel : le Cid qui vécut en E……………………., au ………. ème siècle et qui est entré dans la légende. C’est le chevalier R……………….. D………. de V………, surnommé « le Cid Campeador », « le seigneur qui gagne les batailles ». Ses combats et son mariage avec sa cousine J…………. ont été illustrés par de nombreuses œuvres à l’époque de Corneille. Ce sont les M…………………., ses ennemis qui le surnommèrent ainsi, par respect pour sa bravoure.
Ensuite, un dramaturge e…………………. G………………….. de C…………… a le premier rassemblé ces récits dans une œuvre intitulée Las Mocedades del Cid : « La Jeunesse du Cid », en 1621. C’est une « comedia », genre populaire qui mélange les tons et accumule les événements.

b- La Querelle en février-décembre 16…..
Ses détracteurs, jaloux du succès de Corneille, l’accusent de p………………. (d’avoir copié la pièce de G…………… de C…………..). Son plus féroce ennemi s’appelle Scudéry. Il lui reproche son manque de respect des règles de la tragédie et de vraisemblance. En …………, l’Académie rend son verdict et donne raison à Scudéry tout en reconnaissant le talent littéraire de Corneille. Ce dernier est très déçu.

c- Un genre mixte
Au XVIIème siècle, nous sommes dans l’ère baroque qui privilégie : ……………………., …………………., ………………………… . Le théâtre a deux genres : la tragédie et la tragi-comédie.
Ce dernier mélange les …………., accumule les p……………. extraordinaires et se termine……….. .
La tragédie est un pièce s………………… qui représente un héros en l……………… avec le d……………. . Sa fin est …………………… .

Après le querelle du Cid naît l’âge c…………………… dominé par la r………………. .