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Sur le plan juridique, si l'on ose le dire, la femme n'a d'existence qu'à titre d'épouse ou de mère
dans les sociétés africaines. Cela tient à ce que la société n'est pas composée seulement des
vivants, mais surtout des morts -les ancêtres- qui ont jeté les bases du groupe, qui sont les
raisons de vivre des vivants. Perpétuer leur culte, nous l'avons vu, est le principal but de la vie.
Chaque membre de la société contribue à perpétuer le culte en assurant le renouvellement des
générations. Où alors se tiendra la femme célibataire dans ce milieu ? Puisqu'elle n'est pas apte
à assurer le renouvellement des générations, ne s'excommunic-t-elle pas d'elle-même de
l'église familiale et des avantages de son corps mystique ?
La pression des croyances et des traditions a forgé chez la femme africaine une véritable
vocation de mère, à tel point que l'occasion de l'être lui manquant, c'est toute la raison de vivre
qui lui manque. La société d'ailleurs lui dispense de nombreuses sanctions diffuses quand
seulement elle tarde à se marier : elle est indiquée du doigt dans les rues, traitée de « pied plat
», ce qui passe pour porter malheur à l'homme ; on l'appelle « le bois que le feu refuse de
consumer », ce qui est encore une bien grave injure.

Sagot :

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