Laurentvidal.fr vous aide à trouver des réponses précises à toutes vos questions grâce à une communauté d'experts chevronnés. Rejoignez notre plateforme pour obtenir des réponses fiables à vos interrogations grâce à une vaste communauté d'experts. Explorez des milliers de questions et réponses fournies par une communauté d'experts sur notre plateforme conviviale.
Sagot :
Le problème était que j’étais au milieu de l’eau, que nous étions en pleine nuit, il n’y avait donc personne
que je puisse appeler sur la berge, j’étais isolé comme un homme dans le désert.
Bien que nous fûmes en été, et que la chaleur était présente à cette heure de la nuit, je frisonnais, .
Ce n’était pas normal, rien autour de moi ne bougeait, sauf ma barque .Je me sentais comme un rat pris
au piège .
Je me penchais un peu pour voir s’il n’y avait pas pas quelques bancs de truites, ou autres poissons qui
l’auraient fait bouger.
Mais rien , quelle angoisse de ne pas savoir quoi faire, quoi dire ,. J’étais si petit au milieu de ce lac
immense
Je sentais mon cœur s’accélérer , je pensais au film d’horreur que j’avais vu hier, c’est bien ce genre de film
mais devant sa télévision, bien au chaud sur son canapé.
Il y eût à nouveau un mouvement de la barque suspect.
Quelqu’un m’avait tendu un piège , ridicule, un piège , à moi et pourquoi ? , j’étais seul dans la vie, pas de
famille ,pas trop d’argent juste le nécessaire pour vivre heureux.Oui, c’était à mourir de rire.
Mais Je n’avais pas envie de rire.
Qui aurait voulu me faire mourir ? Les petits mouvements vont-ils augmenter ?
Je décidais de prendre à nouveau les rames et de continuer à avancer ;
Puis la barque ne présenta plus aucun mouvement suspect .Je me mis à chanter, au dessus de moi quelques
nuages annonçaient l’orage , me faisaient comprendre que je devais me dépêcher de rentrer , si je ne
voulais pas , être trempé jusqu’aux os.
Bon , je reprenais mon calme , il n’y avait aucune raison valable de m’imquiéter .
L’orage se mit tout à coup à gronder , tout autour de moi quelque chose faisait un rond, doucement et de
plus en plus vite, des vagues se formaient, devenant de plus en plus nombreuses,immenses , massives, elles
allaient m’engloutir , elles le voulaient.Je sentais que je devenais blanc comme un linge.Les grenouilles
coassaient de plus en plus fort, un chien au loin hurla à la mort .
Je me mis à hurler moi aussi « non je vous en supplie ne me faîtes pas de mal , mon temps n’est pas encore
arrivé».
J’entendis dans la nuit un rire horrible et angoissant, et puis rien, plus rien.
La mort était elle venue me chercher ? quelque chose l’avait elle arrêtée ? il faudra que je retourne un
soir d’orage voir, la voir quand je serais prêt , dans quelques années.
tu me diras ce que tu en penses j'ai fait de mon mieux.Salut
Merci d'utiliser notre plateforme. Nous nous efforçons de fournir des réponses précises et à jour à toutes vos questions. Revenez bientôt. Merci d'avoir choisi notre service. Nous nous engageons à fournir les meilleures réponses à toutes vos questions. Revenez nous voir. Laurentvidal.fr est toujours là pour fournir des réponses précises. Revenez nous voir pour les informations les plus récentes.