Bonjour, j’ai une explication de texte à faire en philo sur ce texte est je ne comprends pas trop le texte pouvez vous m’aidez:

« Ma chère zaza
Merci de votre longue lettre et de la confiance que vous me témoigner en me parlant ainsi de vous ; si vraiment les pages que je vous ai écrit vous ont apporté un peu de courage, j’en suis bien, bien heureuse. Voyez-vous, il y a une chose bien réconfortante à laquelle je réfléchissais en relisant le début de votre lettre, qui m’a arraché d’abord des protestation indigné : c’est que, des « deux aspects du mois », comme parle Bergson, nous connaissons surtout le plus abstrait, le plus pauvres, le plus dépouillé, et le contempler nous plonge souvent dans des abîmes de dégoût et de désespoir. Mais l’autre existe aussi, pourtant ; pensées, actes, sentiments, paroles par quoi nous exprimons notre être profond et que seuls les autres aperçoive. Quand on a trop vécu avec le premier pour pouvoir jamais oublier sa présence, il est bon je crois de répondre un peu de courage en regardant l’image du second dans les yeux de quelqu’un qui vous connaît et cependant je vous aime. Je ne sais pas si ce que je dis là réponds à quelque chose pour vous ; mais j’ai souvent ils augmentent philosopher là-dessus tantôt mais veillant tantôt mais frais de cette dualité par quoi tel faiblesse, par exemple, que nous éprouvant douloureusement nous rend plus cher au contraire à quelqu’un qui nous aime. En un sens nous nous connaissons mieux que l’ami Le plus cher que nous connaissons à jamais, dans un autre sens c’est lui qui nous connaît, nous qui nous ignorons. Et c’est pourquoi je pense, être aimée de quelqu’un nous donne une telle force : nous ne pouvons plus détesté cette être qui le chéri et qui nous est pourtant. Là-dessus, j’écrirai des pages temps que je trouve admirable et extraordinaire les effets de la synthèse accompli entre soi et l’autre ils enrichissement par ricochet pour ainsi dire le je sur est compliqué des sentiments mutuel… Mais je n’ai pas l’intention de faire une dissertation. Je voulais seulement répondre à la première partie de votre lettre, sans m’imposer l’humiliation de vous dire ce que je pense de moi. »

Merci de votre aide