Bienvenue sur Laurentvidal.fr, le site où vous trouverez des réponses rapides et précises à toutes vos questions. Trouvez des solutions détaillées à vos questions grâce à une large gamme d'experts sur notre plateforme conviviale de questions-réponses. Connectez-vous avec des professionnels prêts à fournir des réponses précises à vos questions sur notre plateforme complète de questions-réponses.
Sagot :
Donc: quelles atmosphères particulière se dégagent des deux textes, dans les explications j'ai vu
que le prof ne veut pas une analyse séparée des 2 évidemment il veut du difficile.
Donc je vais faire un mélange des 2 si j'ai des chose à rajouter et que je ne peux pas je passerai à la messagerie pour rajouter des commentaires.
C'est parti:
L'ambiance, l'atmosphère des 2 textes n'est pas la même.Que se soit l'ambiance au niveau du paysage ou celle relative du personnage.
L'atmosphère du texte de Balzac, est inquiètante, impressionnante, mystérieuse, froide, lugubre,dangereuse, tout en opposition avec l'atmosphère de Flaubert où nous ressentons une atmosphère relative au calme,à la douceur,à l'amusement, à la tièdeur, tout est paisible.
Où peut-on voir dans le texte de Balzac cette ambiance si particulière:
- le cocher refuse de s'engager dans une rue non pavée dont les ornières sont un peu trop profondes (pas très agréable)
- les murs sont batis avec les ossements (pas très rassurants)
- cette maison semblait près de tomber en ruine, matériaux de démolition, marre de fumier où coulaient les eaux pluviales et ménagères (quelle misière, aucune personne aimerait vivre dans une ambiance comme cela sans être démoralisé)
- basse cour , lapin : ; saleté , paris ce m'est pas la campagne , ici les animaux trainent partout
- le personnage qui voit ce côté de Paris est stupéfait, anéanti, incrédule, il se dit que ce n'est pas possible, il dit:
"l'homme qui a décidé ..........................serait là !!!!!!!
Par contre comme le texte de Flaubert est reposant avec:
- "ces bruits paisibles, les gamins s'amusaient, des boufflés de vent tiéde, des fraicheurs humides, "
on se sent bien avec " les journaux en ordre, les ateliers des repasseurs ,
..............éblouissantes de lumière ,, quelle opposition entre les 2 textes .MËME si la
description de l'un est sur Paris et de l'autre la région parisienne .On ne peut avoir envie que de
rejetter l'atmosphère lugubre de Balzac et apprécier l'autre.
2- le, point de vue adopté
pour Balzac : je dirais que le point de vue est interne
car les évènements sont racontés à travers le narrateur , qui décrit à travers le regard d'un personnage . Il dit :il
pour Flaubert: je dirais que le point de vu adopté est le point de vu omniscient ;
le narrateur voit tout .il connait les pensées du personnage par exemple:
" il se sentait tout écœuré par la bassesse des figures"
autre exemple:
; "puis, couché sur son divan, s’abandonnait à une méditation désordonnée : plans d’ouvrage, projets de conduite, élancements vers l’avenir. Enfin, pour se débarrasser de
lui-même, il sortait."
bon voilà pour l'instant je te recontacte sur la messagerie pour axe 2 plus tard en sachant que je te donnerais des idées sur axe 2 mais pas une rédaction cléf en main qui ferait appel à bien 2 heures de travail.
Salut , regarde déjà ces notes. A plus;
Nous espérons que nos réponses vous ont été utiles. Revenez quand vous voulez pour obtenir plus d'informations et de réponses à vos questions. Merci d'avoir choisi notre service. Nous nous engageons à fournir les meilleures réponses à toutes vos questions. Revenez nous voir. Merci de visiter Laurentvidal.fr. Revenez souvent pour obtenir les réponses les plus récentes et des informations.