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Document 2: Extrait d'un texte du poète allemand Goethe (« Hermann et Dorothée, chant VI), 1797 Dans ces jours d'effervescence, tous les peuples ne tournaient-ils pas leurs regards vers la capitale du monde qui l'avait été si longtemps et qui maintenant méritait ce nom superbe? [...] Et nous, comme ses voisins, nous fümes les premiers, enflammés par cette ardeur. Puis ce fut la guerre et des colonnes de Français armés s'approchérent, ils avaient l'âme exaltée. Gaiement ils plantèrent des arbres joyeux de la liberté, promettant à chacun de respecter ce qui lui appartenait, et à chacun de lui laisser son gouvernement propre. Ainsi les Français, triomphants, conquirent d'abord l'esprit des hommes par l'ardeur et fallégresse de leurs entreprises, et séduisirent le coeur des femmes par leur grâce irrésistible. Le poids de la guerre aux lourdes exigences nous parut léger, car l'espérance entourait à nos yeux l'avenir de ses voiles chatoyants et attirait nos regards dans les voies nouvellement ouvertes. Cependant, le ciel se troubla bien vite. Une race corrompue, indigne de faire le bien, se disputa les avantages du pouvoir. Ils s'égorgèrent entre eux et opprimèrent leurs voisins, leurs nouveaux frères, et ils nous envoyèrent une foule égoïste. Et nous vires les chefs se livrer à l'orgie et piller en grands, tandis que les petits, jusqu'au moindre d'entre eux, pillaient et vivaient dans la débauche. Ils ne semblaient avoir qu'une crainte, c'est qu'il ne restât pas grand-chose à piller pour le lendemain. Excessive était la détresse, et, chaque jour, croissait l'oppression. Personne n'entendait nos cris; ils étaient les maîtres de l'heure. [] En un din d'oeil les paisibles instruments des champs se changèrent en armes, la fourche et la faux dégoutterent de sang

Comment Goethe présente-t-il la France ? (Citez l'expression utilisée) Pour quelles raisons? En quoi ce texte s'oppose-t-il au décret de 1792?​


Sagot :

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