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Sagot :
Bonsoir
aider svp à corriger ma rédaction l'orthographe et les temps.
Il faut le mettre au passé simple et imparfait. Et le double je: narrant: présent et narré : passé simple
Je me souviens que tout commença un vendredi de mars. Par la fenêtre du bus, je pouvais voir le paysage du matin, avec un magnifique lever de soleil. Puis nous arrivâmes devant l'école, non sans le bruit insupportable des pneus du bus qui crissaient toujours (imparfait d'habitude). Sans me presser, je me dirigeais vers mon casier. Je n'étais pas sûr (sure si tu es une fille) de la façon dont la distribution des casiers avait été faite, mais comme les années précédentes, j'étais à l'arrière du bâtiment, et marcher un long chemin jusqu'à mon casier faisait partie de ma routine. Les cours ne devaient pas commencer avant 10 minutes, alors je pris mon temps. Soudain, un bruit fort assaillit (passé simple) mes oreilles...
Une alarme. Une vague de panique m'envahit (passé simple) alors. Quelle était cette alarme ? J'eus aimé écouter/ ou / Je regrettai mon inattention quand on nous avait expliqué les différentes alarmes. Le couloir était désert, puis j'entendis des bruits de course et, sans réfléchir, je me cachai dans un coin des casiers. Puis je reconnus le professeur de mathématiques de sixième année. Son regard me balaya sans me voir, et je lus dans ses yeux une panique sans limite. Puis un pas plus lourd s'approcha et je vis le professeur s'effondrer d' un bruit sourd. Je mordis mon poing pour ne pas crier. Lorsque je vis sa chemise se tacher de sang, tous mes doutes se confirmèrent . Terrorisé(e), ma respiration s'accéléra. Allais -je mourir comme ça ? Entre deux rangées de casiers, dans les couloirs de mon université ? Je sortis en courant de ma cachette profitant de l'effet de surprise, mais le terroriste passa devant moi à ce moment précis. Je l'attrapai de plein fouet, l'homme tituba et tomba, son arme lourde atterrissant sur sa tête. Je restai immobile pendant quelques secondes, abasourdi(e) au féminin. Il m'avait regardé(e) avant de tomber. Dans ses yeux gris, je n'avais rien lu. Le néant. Je n'avais jamais vu un être humain aussi peu expressif. (ici ces 3 derniers verbes sont au plus-que-parfait et je pense que c'est bien. Cela marque une antériorité). Puis j'éloignai l'arme de l'assassin, qui s'était manifestement évanoui . (je coupe pour éviter la répétiton du mot "arme"). Il était définitivement trop lourd pour moi, alors je le laissai tomber dans la pièce la plus proche, en le traînant sur le sol. La pièce en question donnait sur la cour de récréation. Lorsque je regardai enfin cette cour , des larmes coulèrent instantanément sur mes joues. Les cris de terreur avaient cessé pour faire place à un lourd silence. Les corps des vivants, blessés ou morts se confondaient , et à ce moment-là, je crus vraiment que j'étais le dernier survivant( la dernière survivante). Je fermais donc la porte de la pièce et je me recroquevillai sur le sol, afin de ne pas être vu(e) à l'intérieur ou à l'extérieur du bâtiment. Puis, soudain, j'entendis les sirènes de police recouvrir peu à peu le son de l'alarme. Mon corps tremblait et je ne pouvais pas l'arrêter. C'est normal, tu es sous le choc", me dit une petite voix dans ma tête, "mais ne t'inquiète pas, ça va passer". Je me raccrochai à cette voix comme à mon dernier espoir. (on laisse le discours direct au présent de narration)
La police, les pompiers, les interrogatoires, tout se succédait mais je ne pouvais pas dire un seul mot. Ma bouche était fermée et je ne pouvais pas expliquer à la police ce qui s'était passé. Heureusement, les caméras de surveillance fonctionnaient encore et ils purent prouver mon innocence. Aujourd'hui encore, je garde des cicatrices de cet incident. Même si tout est sécurisé maintenant et que j'ai changé d'école, je ne peux pas empêcher les frissons de parcourir mon corps lorsque j'arrive à l'entrée de l'école, lorsque je suis seul(e) dans les couloirs, ou lorsque nous entrons dans la classe de mathématiques. Comme une vague , ils me transpercent, puis disparaissent et réapparaissent. Je parle encore très peu, et à la moindre évocation des mots "sang" ou "armes", ma respiration se bloque et des flash d'images /ou/ des flash-back défilent devant mes yeux. Mes parents disent que j'ai eu de la chance d'en réchapper (pour éviter la répétition avec la phrase suivante). Pourquoi mes amis n'ont-ils pas eu cette chance-là, eux aussi ? Je me sens coupable de tout cela. Coupable d'avoir survécu alors que tant d'autres auraient dû être aussi en vie . Cet événement a vraiment changé ma vie, et je doute qu'il ne s'efface un jour de ma mémoire..
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explications en commentaires, sinon trop long et je peux pas envoyé...
En espérant t'avoir aidé(e)
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Bonne nuit ☺☺☺
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