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II- Exercice de dictée : Le texte ci-dessous contient des fautes; à toi de les retrouver, de les souligner
et d'écrire dans la marge la forme correcte selon toi. /10 points
Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt était tous morts depuis
longtemps. De la guerre, justement. Aussi, en octobre, Albert reçut-il avec pas
mal de sceptissisme les rumeurs annonçant un armistice. Il ne leur prêtat pas
plus de crédit qu'à la propagande du début qui soutenait, par exemple, que les
balles boches étaient tellement moles qu'elles s'écrasaient comme des poires
blettes sur les uniformes, faisant hurlaient de rire les régimants français. En
quatre ans, Albert en avait vu un paquet, des types morts de rire en recevant
une balle allemande.
Il s'en rendait bien compte, son refus de croire a l'approche d'un armistice tenait
surtout de la magie : plus on espère la paix, moins on donne de crédit aux nou-
velles qui l'annonces, manière de conjuré le mauvais sors.


Sagot :

Réponse :

Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt étaient tous morts depuis longtemps. De la guerre, justement. Aussi, en octobre, Albert reçut-il avec pas mal de scepticisme les rumeurs annonçant un armistice. Il ne leur prêta pas plus de crédit qu'à la propagande du début qui soutenait, par exemple, que les balles boches étaient tellement molles qu'elles s'écrasaient comme des poires blettes sur les uniformes, faisant hurler de rire les régiments français. En quatre ans, Albert en avait vu un paquet, des types morts de rire en recevant une balle allemande.

Il s'en rendait bien compte, son refus de croire à l'approche d'un armistice tenait surtout de la magie : plus on espère la paix, moins on donne de crédit aux nouvelles qui l'annoncent, manière de conjurer le mauvais sort.

Explications :

Bonjour bonsoir je t'ai corriger toute les faute comise a toi de comparer ^^

Bonne chance );

Réponse :

Explications :

Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt étaient tous morts depuis longtemps. De la guerre, justement. Aussi, en octobre, Albert reçut-il avec pas mal de scepticisme les rumeurs annonçant un armistice. Il ne leur prêta pas plus de crédit qu'à la propagande du début qui soutenait, par exemple, que les balles boches étaient tellement molles qu'elles s'écrasaient comme des poires blettes sur les uniformes, faisant hurler de rire les régiments français. En quatre ans, Albert en avait vu un paquet, des types morts de rire en recevant une balle allemande.

Il s'en rendait bien compte, son refus de croire à l'approche d'un armistice tenait surtout de la magie : plus on espère la paix, moins on donne de crédit aux nouvelles qui l'annoncent , manière de conjurer le mauvais sort.

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