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Exercice 4: Transpose au présent de l'indicatif. Recopie le texte en écrivant les verbes d'une autre couleur. Un grand silence se fit. Les enfants étaient stupéfaits par cette chose extraordinaire, impossible, monstrueuse - un garçon qui n'a pas de papa: ils le regardaient comme un phénomène, un être hors de la nature, et ils sentaient grandir en eux ce mépris, inexpliqué jusque-là, de leurs mères pour la Blanchotte. (...) Simon se tut: il ne savait pas. Les enfants riaient, très excités; et ces fils des champs, plus proches des bêtes, éprouvaient ce besoin cruel qui pousse les poules d'une basse-cour à achever l'une d'entre elles aussitôt qu'elle est blessée. (...) Simon le saisit à deux mains aux cheveux et se mit à lui cribler les jambes de coups de pied, pendant qu'il lui mordait la joue cruellement. Il se fit une bousculade énorme. Les deux combattants furent séparés, et Simon se trouva frappé, déchiré, meurtri, roulé par terre, au milieu du cercle des galopins qui applaudissaient. Comme il se relevait, en nettoyant machinalement avec sa main sa petite blouse toute sale de poussière, quelqu'un lui cria : « Va le dire à ton papa. >>​

Sagot :

Réponse :

bonjour

Explications :

Un grand silence se fait. Les enfants sont stupéfaits par cette chose extraordinaire, impossible, monstrueuse - un garçon qui n'a pas de papa: ils le regardent comme un phénomène, un être hors de la nature, et ils sentent grandir en eux ce mépris, inexpliqué jusque-là, de leurs mères pour la Blanchotte. (...) Simon se tait: il ne sait pas. Les enfants rient, très excités; et ces fils des champs, plus proches des bêtes, éprouvent ce besoin cruel qui pousse les poules d'une basse-cour à achever l'une d'entre elles aussitôt qu'elle est blessée. (...) Simon le saisit à deux mains aux cheveux et se met à lui cribler les jambes de coups de pied, pendant qu'il lui mord la joue cruellement. Il se fait une bousculade énorme. Les deux combattants sont séparés, et Simon se trouve frappé, déchiré, meurtri, roulé par terre, au milieu du cercle des galopins qui applaudissent. Comme il se relève, en nettoyant machinalement avec sa main sa petite blouse toute sale de poussière, quelqu'un lui crie : « Va le dire à ton papa. >>​

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