Lorsqu'on est face à une masse de travail, les distractions que constituent les loisirs nous semblent immédiatement plus attrayantes, principalement parce que notre fainéantise nous encourage à repousser les tâches désagréables que peut constituer le travail.
Pour essayer de rester concis et ne pas étendre le sujet sur 200 lignes, bien qu'il le mériterait, je résumerai que le loisir constitue un séduisant curatif à la pression que laisse peser le travail à faire.
Mais ne fait que nous enfumer l'esprit lorsqu'on le pratique à outrance ou sans modération, nous permettant d'ignorer l'absolue nécessité de faire ce qu'on a à faire. Sous peine de développer une anxiété vis-à-vis du travail qui devient de plus en plus insurmontable au fur et à mesure qu'on le repousse, anxiété et frustration qui parasiteront notre esprit et ne permettent jamais de s'épanouir dans un sentiment de liberté complète.
Comme je l'ai dit la réflexion peut très bien être étendue sur beaucoup plus de pages et tu peux dégager d'autres points comme:
