Laurentvidal.fr vous aide à trouver des réponses à toutes vos questions grâce à une communauté d'experts passionnés. Explorez notre plateforme de questions-réponses pour trouver des réponses détaillées fournies par une large gamme d'experts dans divers domaines. Découvrez des solutions complètes à vos questions grâce à des professionnels expérimentés sur notre plateforme conviviale.

Bonjour j'aimerais de l'aide pour ce questionnaire de 6 questions s'il vous plaît ​

Bonjour Jaimerais De Laide Pour Ce Questionnaire De 6 Questions Sil Vous Plaît class=

Sagot :

Réponse :

bonjour

Explications :

voici des éléments pour t'aider dans ton devoir

1. Le poète parle d’abord d’une usine et des ouvriers afférés à la tâche

Le bruit que l’on entend : « le mouvement d’universel tictacquement », c’est la temporisation du travail mécanique

bruit deuxième strophe : « un vacarme tonnant de chocs »

2. cadence du travail : des gestes répétés, « la parole humaine abolie », »silence »

la robotisation des hommes est évoquée par :

- elle est « automatique », « entêtement », « règle le mouvement », « règlent », personnification des machines (« fermente, déchiquette, monte, se taire… ». On constate que la machine ici c’est l’homme

3. mots qui entrent dans le champ lexical de la ville : « les blocs » « les murs » « les gares », « les ponts » « cuisines «  «, le bruit"..

4. et 5.verbes d’action utilisés pour les machines : fermente, mordent, monte, tomber, se taire » (c’est une personnification animale). Cela montre que les machines sont dominantes, l’homme est « effacé », l’homme ne vit plus c’est le règne des machines.

6. qu’est ce qui peut nous faire dire que les ouvriers ont perdu l’usage de la parole : « ouvriers silencieux », « la parole humaine est abolie », « qui fermente de fièvre et de folie » « des sifflets crus et des signaux hurlent soudain vers les fanaux

7. on peut dire que le poète décrit un monde apocalyptique parce que : on dirait l’enfer mais un enfer bien réel, terrestre, recréé par l’homme, une vision totalement apocalyptique avec des « bruits infernaux » du « feu ». L’homme est totalement aliéné, déshumanisé. C’est l’ère de l’ouvrier-machine.