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Sagot :
Réponse :
Pendant la nuit, Arthur tournait dans tout les sens dans son lit de paille. Il regrettait beaucoup sa colère et avait honte de revoir sa mère, il ne voulait pas le revoir. C'était décidé, il ne voulait vraiment pas la revoir, au moins pour quelque jours, le temps que sa mère oublie l'incident. Arthur s'assit dans la paille, alluma sa bougie, en le prenant doucement, en faisant le moins de bruit possible, car la chambre de sa mère était directement au dessous. Pour faire une dizaine de mètre, ce lui prit au moins 2 minutes, et a chaque petit grincement, son souffle se coupait, il se paralysait. Il avait atteint, quand la porte de sa mère s'ouvrit. Elle n'avait pas remarqué Arthur, mais elle se dirigeait seulement à la cuisine pour un vers de lait. Arthur se cache derrière un mur, attendant cinq longues minutes avant que sa mère se remette au lit. Il en profita pendant qu'elle faisait du bruit dans son lit, en remettant les couvertures, et enlevant ses pantouffles. dans sa chambre pour escalader la rampe sur le côté. Il arriva à la cuisine ou il se servit d'une bouteille d'eau fraiche et d'un pomme verte. Il ouvrit la porte d'entrée avec précaution, puis partit en trombe en claquant la porte d'entrée ce qui réveilla sa mère. Elle se mit a crier, "Arthur, reviens, Arthur..."
Explications :
Voila!
Réponse :
Puis elle ferme la porte à double tour. Arthur a du mal à se calmer. il trouve la punition déplacée pour un adolescent de 15 ans qui d'ailleurs est brillant à l'école et qui rafle les prix de latin. Il se calme lentement et prépare une riposte, mais d'abord, il lui faut repasser dans sa tête quelques vers du poème Dolor du grand Hugo :
"Homme, n'exige pas qu'on rompe le silence ;
Dis-toi : je suis puni. baisse la tête et pense".
Alors il pense longtemps et sa décision est prise :" dès que je pourrai descendre d e ce grenier, je vais fuguer. Charleville m'oppresse, ma mère est trop sévère, personne ne me comprend sauf mon professeur de français Georges izambard. Je partirai à pied puisque je n'ai pas d'argent. je m'en irai les poings dans mes poches crevées et de cette route, je ferai un poème."
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