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ex 10 p 257/ ÉCRITURE/ Réécrivez le texte à l'imparfait. Soulignez les verbes conjugués. C'est un matin d’octobre.

Un ciel tourmenté de gros nuages gris limite l'horizon aux collines prochaines et rend la campagne mélancolique. Les pruniers sont nus, les pommiers sont jaunes, les feuilles de noyer tombent en une sorte de vol plané, large et lent d'abord, qui s'accentue d'un seul coup comme un plongeon d’épervier dès que l'angle de chute devient moins obtus. L'air est humide et tiède. Des ondes de vent courent par intervalles. D'après Louis Pergaud, La Guerre des boutons (1912).


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Sagot :

Bonjour

Réécrivez le texte à l'imparfait. Soulignez les verbes conjugués. C'est un matin d’octobre.

Un ciel tourmenté de gros nuages gris limitait l'horizon aux collines prochaines et rendait la campagne mélancolique. Les pruniers étaient nus, les pommiers étaient jaunes, les feuilles de noyer tombaient en une sorte de vol plané, large et lent d'abord, qui s'accentua d'un seul coup comme un plongeon d’épervier dès que l'angle de chute devint moins obtus. L'air était humide et tiède. Des ondes de vent couraient par intervalles. D'après Louis Pergaud, La Guerre des boutons (1912).

Bonjour,

C'était  un matin d’octobre.Un ciel tourmenté de gros nuages gris limitait  l'horizon aux collines prochaines et rendait  la campagne mélancolique. Les pruniers étaient nus, les pommiers étaient  jaunes, les feuilles de noyer tombaient en une sorte de vol plané, large et lent d'abord, qui s'accentuait d'un seul coup comme un plongeon d’épervier dès que l'angle de chute devenait  moins obtus. L'air était  humide et tiède. Des ondes de vent couraient par intervalles.

D'après Louis Pergaud, La Guerre des boutons (1912).