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Sagot :
slt ce texte je l'avais écrit et il décrit un paysage merveilleux et il y a le sens du gout, mais ce texte il parle d'une grand-mère et sa petite fille donc tu peux le modifier et ne d'écrire que le paysage bonne chance :
La grande-mère et la petite fille étaient t'apparut sur une espèce de plaine, mais ils se rendirent compte que le sol était doux similaire à une éponge, mais en se concentrant sur le paysage elles se rendaient compte qu'elles n'avaient jamais vu quelque chose d'aussi beaux et merveilleux, des arbres, des cours d'eau, des animaux tellement extraordinaires et merveilleux, pas comme celle de notre monde, les arbres étaient grands et beaux et les fruits qui y poussaient étaient comparable aux diamants les plus précieux et scintillants de l'univers tout entier, la fille attirait pas les fruits avaient voulu en goûter un, mais l'arbre bien trop grand pour les atteindre elle ne pût en prendre, mais tout à coup le sol s'était mis à trembloter et un champignon était sorti de terre et avait amené la fille tout en haut de l'arbre, de ce fait elle avait pu saisir un fruit puis le champignon redescendu et avait déposé la fille sur le sol et avait disparu sous terre, la grande-mère se rapprochant d'une rivière avait constaté que ce n'était pas de l'eau, mais du chocolat, elle se levait et elle avait regardé autour d'elle et elle observait qu'il y avait des rivières de thés, de lait et de jus, de plus le silence régner les oiseaux gazouiller et il n'y avait ni de froid ni trop de chaleur, tout était parfait il n'y avait plus de faim, plus de froid, et plus de chagrin, tout ce qui pouvait les rendre heureuses se trouvait ici.
Voilà et bonne chance en espérant que ça ta aider.
Bonjour, j’ai fait de mon côté un texte utilisant l’ouïe :
J’émergeai alors d’un arbre au longues feuilles tombantes jusqu’au sol. La porte incrustée à cet arbre se referma aussitôt en un claquement sec qui résonna plusieurs fois dans le silence environnant. Je m’élançai jusqu’à elle mais conclu, après plusieurs coups dans la porte, qui eurent un bruit de coup assénés à un arbre, que la porte était fermée. Je m’avançais donc, le bruit des feuilles crissant sous mes pieds. Aucun autre son sinon celui des feuilles. Ce silence m’angoissait mais je continuais de marcher. Je devais découvrir où j’étais et comment retourner chez moi. J’écartai alors les feuilles de l’arbre qui bruitèrent délicatement sous mes doigts, mais je n’y faisais déjà plus attention, trop hypnotisé pas le paysage extraordinaire qui m’entourait. Des arbres à perte de vue, de toutes les couleurs imaginables, un ciel d’un bleu azur dépourvu de nuage et des fleurs magnifiques parsemées sur la plus grande surface de l’herbe. Le vent vint chanter dans mes oreilles, cela était si agréable ! Je serais resté à jamais dans cette endroit merveilleux si la volonté de retrouver ma famille ne me poussait pas à continuer mon avancée. Aucun signe de vie sinon moi. Soudain, une mélodie fredonnée me tira de ma torpeur. Elle était d’une clarté époustouflante et je ne pouvais me soustraire de cesser de l’écouter, je n’avais jamais entendu de si beau chant. La voix féminine et enfantine se rapprochait cependant de moi, de plus en plus forte mais de plus en plus belle. Une jeune fille apparue, vêtue d’une robe mauve dont la traînée frémissait doucement sur l’herbe folle. Le bruit de ses pas était tout aussi mélodieux que son chant et je venais de comprendre que chaque bruit, ici, était plus harmonieux encore que les sons que j’avais entendu sur Terre.
J’émergeai alors d’un arbre au longues feuilles tombantes jusqu’au sol. La porte incrustée à cet arbre se referma aussitôt en un claquement sec qui résonna plusieurs fois dans le silence environnant. Je m’élançai jusqu’à elle mais conclu, après plusieurs coups dans la porte, qui eurent un bruit de coup assénés à un arbre, que la porte était fermée. Je m’avançais donc, le bruit des feuilles crissant sous mes pieds. Aucun autre son sinon celui des feuilles. Ce silence m’angoissait mais je continuais de marcher. Je devais découvrir où j’étais et comment retourner chez moi. J’écartai alors les feuilles de l’arbre qui bruitèrent délicatement sous mes doigts, mais je n’y faisais déjà plus attention, trop hypnotisé pas le paysage extraordinaire qui m’entourait. Des arbres à perte de vue, de toutes les couleurs imaginables, un ciel d’un bleu azur dépourvu de nuage et des fleurs magnifiques parsemées sur la plus grande surface de l’herbe. Le vent vint chanter dans mes oreilles, cela était si agréable ! Je serais resté à jamais dans cette endroit merveilleux si la volonté de retrouver ma famille ne me poussait pas à continuer mon avancée. Aucun signe de vie sinon moi. Soudain, une mélodie fredonnée me tira de ma torpeur. Elle était d’une clarté époustouflante et je ne pouvais me soustraire de cesser de l’écouter, je n’avais jamais entendu de si beau chant. La voix féminine et enfantine se rapprochait cependant de moi, de plus en plus forte mais de plus en plus belle. Une jeune fille apparue, vêtue d’une robe mauve dont la traînée frémissait doucement sur l’herbe folle. Le bruit de ses pas était tout aussi mélodieux que son chant et je venais de comprendre que chaque bruit, ici, était plus harmonieux encore que les sons que j’avais entendu sur Terre.
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