Réponse :
Partie 1 : Lors de mes trois années de lycée, fréquement une bande de trois garçons et une fille venait régulièrement me "rendre visite". Je ne voulais pas admettre que j'étais leur souffre douleur, je ne pouvais que continuer à me mentir car au fin fond de mon âme ce mensone est la seule chose qui me gardait en vie. Lorsque cette bande me rendait visite, je me preparait à recevoir des injures et des coups. Dans un premier temps, au début de ces visites, ils m'humiliaient simplement devant tout le monde ou me traitaient des tout les noms possibles. Puis un jour d'automne, le jour de l'une de ces visites, l'un d'entre eux, nommé Thomas à commencé à me bousculer. Au fur et à mesures ils y prennaient tous goûts. Et puis petit à petit dans le silence et le déni le plus totale, les coups se sont installés. Ma machoire à commencer à se clouer, et soudainement j'ai arreté de parler. D'ailleurs ça leur à plues. Je n'essayais et les coups ont commencer à valser.
2) A mon plus grand regret, ma machoire ne voulais plus rester ouverte, et mes pensées sont restées bien emitouflées dans un coin de ma tête. Le silence à été mon plus grand allié et mon grand défi. Dans le silence de la nuit je trouvais le réconfort de la solitude, puis la journée.... Je le haïssais, aucun mot concernant ces visites n'est sorti de ma bouche. Comme un condmané, je me suis dit que mon sors était scéllé et que parler ne pourrait y changer grand chose. La nuit je m'allongais sur le toit de ma maison et je dormais là-bas, au petit matin je me glissais dans mon lit avant que ma mère ne vienne. Je me suis renfermé sur le dessin, tous noir et exprimant ma douleur et ma colère.
3) Très peut voir aucune nourriture ne rentrait dans ma bouche. L'appétit c'était égaré lors de ces nombreuses visites. Mes repas ont commencés à s'éspacer et pour ne pas laisser transparaitre mon mal-être je me faisais vomir après les repas. Je maigrissais à vu d'oeil, alors j'ai commencé à m'habiller oversize. Mon état mentale était constant. Consamment dans la peine et la douleur alors je ne pouvais risquer grand chose vu que je ne ressentais que tout le temps la même chose. mon seul mensonge était "je suis fatiguée, je monte me coucher". En réalit" je passais mes nuit à regarder les étoiles en me demandant pourquoi aux yeux de cette bande j'étais aussi visible que l'étoile du berger. Ne pouvaient-ils pas simplement m'oublier. Je voulais que ma lumière cesse de briller *. Ma vie envolée, et mon esprit aurait été gravement soulagé.
Explications : Je suis désolé, c'est très long, j'espère que cela t'aide
Ma lumière cesse de briller = mourir, la vie signifie la lumière, et le fait qu'elle s'éteigne signifie la mort.