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Sagot :
Bonjour ma chère et tendre femme.
Ici, c'est une catastrophe, il y a plein de blessés, de mort, j'ai pas dormi depuis bientôt 2jours. Nos ennemis nous laisse pas le temps pour nous reposer. Nous ne mangeons pas a notre fain, je mange des rats, qui traîne dans les tranchés. J ai peur de mourir à chaque tire, j'aimerai temps vous rejoindre. je fait très attention à chaque instant.
Je vous aime !
voilà j'espère que tu arrivera à rajouter plus de choses
Réponse :
Coucou !
Je t'ai fais des grandes lignes, il reste encore du développement à faire, je pense que ça va t'aider!
Jeudi 30 septembre 1915
Ma chère Marie,
Je t’avais promis une lettre au plus vite, et tu sais que je tiens toujours mes promesses. Je te demanderais seulement d’être forte, avant, pendant et après avoir lu cette lettre.
Je viens de me retirer de la première tranchées, qui se trouvait à quelques mètres de nos ennemis, une équipe de soutient est venu nous remplacer. Je me trouve actuellement un peu plus à l’arrière, toujours dans des tranchées, mais disons qu’elles sont bien plus confortables, on a des vivres, des médecins, de la paille pour s’assoupir un peu.
J’ai passé 2 jours au front, dans des tranchées humides, boueuses, avec pour accueil de la pluie, une pluie non d’eau, mais d’obus, faisant couler beaucoup de sang, du sang français de mes camarades.
La vie est difficile, de jour comme de nuit, le temps est maussade, les cieux sont en colère, des éclairs accompagnent les champs de batailles, cela donne de la force, et fait oublier un cours instant les bruits incessant des mitrailleuses et obus tombant sur nous.
Notre caporal nous a félicités, nous n’avons par reculés, les tranchées dans lesquelles nous étions sont toujours à nous.
(A développer) …..
Je t’apporte aussi de mes nouvelles, je peux pas te dire que je vais bien, mais c’est difficile à dire que je vais mal, je suis en vie, alors c’est bien.
J’ai perdu nombre de mes camarades aujourd’hui, je pense à eux, à leurs familles, moi j’ai la chance de pouvoir profiter de ce moment d’écriture, avec toi.
Lorsque nous sommes par sur le front, nous pouvons jouer aux cartes, fumer des paquets de cigarettes, chasser du rat, afin de pouvoir se nourrir.
Nous faisons également des munitions défensives, des barrages, des sacs de terres, finalement, même aux reposes nous nous battons, même si nous sommes un peu moins exposés.
(A développer)
Je porte sur moi, dans ma chaussure boueuse et humide, ton collier, un petit porte bonheur qui permet de m’évader et repense à nous, à la vie d’avant, et j’espère rentrer bien vite à la maison.
Marie, tu sais combien je t’aime et quels tendres baisers je t’envoie, partage avec, nos chers petits.
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