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bonjour je dois Réécrire le texte en remplaçant la première personne du singulier par la troisième personne du singulier.


Ma cousine était très belle et le savait. Ses cheveux très noirs, qu'elle portait en bandeaux, faisaient valoir un profil de camée (j'ai revu sa photographie) et une peau éblouissante. De l'éclat de cette peau, je me souviens très bien : je m'en souviens d'autant mieux que, ce jour où je lui fus présenté, elle portait une robe largement échancrée. « Va vite embrasser ta cousine », me dit ma mère lorsque j'entrai dans le salon. [...] Je m'avançai. La cousine de Flaux m'attira contre elle en se baissant, ce qui découvrit son épaule. Devant l'éclat de cette chair, je ne sais quel vertige me prit: au lieu de poser mes lèvres sur la joue qu'elle me tendait, fasciné par l'épaule éblouissante, j'y allais d'un grand coup de dents. La cousine fit un cri de douleur puis je crachai, plein de dégoût. On m'emmena bien vite, et je crois qu'on était si stupéfait qu'on oublia de me punir.

André GIDE, Si le grain ne meurt

Sagot :

bonjour .


Ma cousine était très belle et le savait. Ses cheveux très noirs, qu'elle portait en bandeaux, faisaient valoir un profil de camée (il a revu sa photographie) et une peau éblouissante. De l'éclat de cette peau, il se souvient très bien : il s’en souvient d'autant mieux que, ce jour où il lui fut présenté, elle portait une robe largement échancrée. « Va vite embrasser ta cousine », lui dit sa mère lorsque il entrait dans le salon. [...] il s'avançait. La cousine de Flaux l'attira contre elle en se baissant, ce qui découvrit son épaule. Devant l'éclat de cette chair, il ne sait quel vertige lui prit: au lieu de poser ses lèvres sur la joue qu'elle me tendait, fasciné par l'épaule éblouissante, il y allait d'un grand coup de dents. La cousine fit un cri de douleur puis il crachait, plein de dégoût. On l’emmena bien vite, et il croit qu'on était si stupéfait qu'on oublia de me punir.

André GIDE, Si le grain ne meurt
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