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Sagot :
Réponse :
je te répond avec mes connaissances, j'espere que cela va t'aider.
Explications :
Les députés votent l'abolition de la monarchie et la naissance de la Première République avec la création de la Convention nationale, ce qui est le nouveau regime politique. Le roi Louis XVI est jeté en prison, pour avir été acusé de trahison, celui-ci est l'un des marthyre de la révolution française. Cela se passe en 1792.
voilà voilà :)
Lors de la réunion des états généraux le 5 mai 1789, Louis XVI dispose encore d’un important capital de confiance et de popularité parmi ses sujets. Cependant, incapable de comprendre les espoirs des représentants du tiers état et d’apprécier l’importance des changements qui s’opèrent dans son royaume, profondément attaché à l’absolutisme de droit divin, le roi déçoit le peuple français. S’ajoutant à la crise politique, la crise économique est à l’origine des journées d’octobre 1789 qui voient le pitoyable retour de la famille royale au palais des Tuileries. Le monarque est en quelque sorte l’otage du peuple de Paris, et le prestige de la monarchie s’en trouve considérablement entamé. La fuite du roi et son arrestation à Varennes le 20 juin 1791 incitent l’Assemblée constituante à précipiter l’instauration d’une monarchie constitutionnelle.
Le 1er octobre 1791, l’Assemblée constituante laisse place à l’Assemblée législative. Louis XVI est alors persuadé que seule une intervention étrangère peut lui permettre de restaurer l’absolutisme. Le 20 avril 1792, l’Assemblée législative déclare la guerre à l’Autriche sur la proposition du roi, qui joue la politique du pire. Les premières batailles sont un désastre pour la France. Le 11 juillet, l’Assemblée déclare la patrie en danger. Le 25 juillet, le manifeste de Brunswick menace la capitale de destruction « s’il est fait la moindre violence, le moindre outrage, à Leurs Majestés, le Roi, la Reine et la famille royale ». Cette déclaration austro-prussienne excite la fureur et les aspirations républicaines des révolutionnaires.
Le 10 août 1792, quarante-sept des quarante-huit sections parisiennes, grossies des fédérés bretons et marseillais, assiègent le palais des Tuileries, contraignant la famille royale à se retirer et à se placer sous la protection de l’Assemblée législative. Moins de deux ans plus tard, dans le contexte d’une Terreur renforcée, le Comité de salut public éprouve le besoin de légitimer les événements révolutionnaires et organise le Concours de l’an II, temps fort de la politique des arts sous la Révolution, pour illustrer les pages glorieuses de la jeune république.
Le 1er octobre 1791, l’Assemblée constituante laisse place à l’Assemblée législative. Louis XVI est alors persuadé que seule une intervention étrangère peut lui permettre de restaurer l’absolutisme. Le 20 avril 1792, l’Assemblée législative déclare la guerre à l’Autriche sur la proposition du roi, qui joue la politique du pire. Les premières batailles sont un désastre pour la France. Le 11 juillet, l’Assemblée déclare la patrie en danger. Le 25 juillet, le manifeste de Brunswick menace la capitale de destruction « s’il est fait la moindre violence, le moindre outrage, à Leurs Majestés, le Roi, la Reine et la famille royale ». Cette déclaration austro-prussienne excite la fureur et les aspirations républicaines des révolutionnaires.
Le 10 août 1792, quarante-sept des quarante-huit sections parisiennes, grossies des fédérés bretons et marseillais, assiègent le palais des Tuileries, contraignant la famille royale à se retirer et à se placer sous la protection de l’Assemblée législative. Moins de deux ans plus tard, dans le contexte d’une Terreur renforcée, le Comité de salut public éprouve le besoin de légitimer les événements révolutionnaires et organise le Concours de l’an II, temps fort de la politique des arts sous la Révolution, pour illustrer les pages glorieuses de la jeune république.
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