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bonjour à tous, je dois faire un commentaire littéraire sur la poésie d'Alfred de Musset « sonnet à madame m.n» je n'arrive pas à comprendre le sens de la dernière strophe et surtout du dernier vers, j'ai peur d'être hors sujet Voici la dernière strophe : « c'est ta main consolante, et si sage et si douce, qui consacre à jamais un pas fait sur la mousse, le hochet d'un enfant, un regard, un soupir.» est-ce que l'auteur, dans le dernier vers fais allusion à la mort quand il parle de soupir, puisque quand on meurt on pousse son dernier soupir et qu'au début du vers il parle du hochet d'un enfant (naissance vers le dernier soupir la mort?) merci d'avance je suis complètement paumée​

Sagot :

Réponse :

Un sonnet comme un poème dédié.

I.  Un souvenir d'enfance

- les verbes au passé pour évoquer M. enfant et ses goûts

-" un jeune  souvenir " léger, gai, heureux

- entente et connivence : nous, je/vous, nous parlions

II. Le temps qui passe

- loin d'être craint par le lâche, il doit au contraire être apprécié : il console, il est sage et doux

- il garde les souvenirs heureux

- il nous rappelle aussi notre enfance

" Je vous ai vue enfant, maintenant que j'y pense,

Fraîche comme une rose (comparaison) et le coeur (métonymie) dans les yeux.  

- Je vous ai vu bambin, boudeur et paresseux ;

Vous aimiez lord Byron, les grands vers et la danse. "(2 énumérations)

Ainsi nous revenaient les jours de notre enfance,

Et nous parlions déjà le langage des vieux ;

Ce jeune souvenir riait entre nous deux, (oxymore)

Léger comme un écho, gai comme l'espérance. (2 comparaisons)

Le lâche craint le temps parce qu'il fait mourir ;

Il croit son mur gâté lorsqu'une fleur y pousse.

Ô voyageur ami, père du souvenir ! (personnification et invocation)  (périphrase)

C'est ta main consolante, et si sage et si douce, (personnification)

Qui consacre à jamais un pas fait sur la mousse,

Le hochet d'un enfant, un regard, un soupir.

(L'enfant est accompagné dans ses premiers pas hésitants )

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