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Sagot :
Mon j’ai fait ça j’ai eu 16
Vous ne croirez sans doute pas ce qui m’est arrivé et votre première réaction sera sûrement de me traiter de fou. Cependant, je ne le suis pas. Je sais que la mort s’approche inexorablement de moi, et aujourd’hui, je voudrais décharger mon âme et me sentir libre. Je vais vous raconter clairement et brièvement ce qui m’est arrivé cette nuit-là.
C’était une nuit sombre et orageuse, le vent soufflait si fort. Mais Je devais absolument aller chercher des papiers dans mon ancienne demeure, où je n y étais pas retourné depuis que ma femme tant aimée y avait perdu la vie. Alors, j’entrais dans la maison. je commençais par fouiller à l’étage, le rez de chaussée, mais il n’y avait rien, il restait le sous-sol. C’était là que mon épouse travaillait d’arrache-pied chaque jour, chaque minute, chaque seconde pour essayer de ramener nos malheureux défunts à la vie.
Alors que je descendais, quelque chose était anormal, j’entendais un bruit que je n'avais jamais entendu auparavant. Celui-ci était semblable à un grognement étouffé. Ce bruit attirait follement ma curiosité. Marche par marche ce que j’entendais s'intensifiait.
Dans le noir, une silhouette se dessinée devant moi. Tout d’un coup, sans pouvoir l’expliquer les lumières s'allumèrent.
Au sol se trouvaient des restes de corps humains. J’étais submergé par plusieurs émotions, le dégoût,la peur, le stress mais j‘étais comme poussé à aller voir plus loin.
C’est alors que je le vis, enchaîné au mur, ses cheveux collés à son crâne déformé par du sang coagulé. Ses yeux exorbités, terrifiants, étaient injectés de sang. Son teint gris et sa peau fine laissait apparaître ses veines. Ses dents étaient noircies par les entrailles de ses victimes. Son corps décharné dégageait une odeur nauséabonde de putréfactions. Un zombie!
À sa gauche, sur le bureau, se trouvait ce pourquoi j' étais venu. Dans un élan de courage j' attrapais l' enveloppe et m’enfuis. Je ne me retournais pas, mon parfum l’avait excité, il remuait ses chaînes et risquait à tout moment de se libérer et de me tuer.
Je n ai jamais parler de cette histoire, la mémoire de ma femme aurait été salie par une expérience qui a mal tourné alors qu elle ne voulait que du bien à l espèce humaine.
Je peux partir l' esprit libre maintenant
Vous ne croirez sans doute pas ce qui m’est arrivé et votre première réaction sera sûrement de me traiter de fou. Cependant, je ne le suis pas. Je sais que la mort s’approche inexorablement de moi, et aujourd’hui, je voudrais décharger mon âme et me sentir libre. Je vais vous raconter clairement et brièvement ce qui m’est arrivé cette nuit-là.
C’était une nuit sombre et orageuse, le vent soufflait si fort. Mais Je devais absolument aller chercher des papiers dans mon ancienne demeure, où je n y étais pas retourné depuis que ma femme tant aimée y avait perdu la vie. Alors, j’entrais dans la maison. je commençais par fouiller à l’étage, le rez de chaussée, mais il n’y avait rien, il restait le sous-sol. C’était là que mon épouse travaillait d’arrache-pied chaque jour, chaque minute, chaque seconde pour essayer de ramener nos malheureux défunts à la vie.
Alors que je descendais, quelque chose était anormal, j’entendais un bruit que je n'avais jamais entendu auparavant. Celui-ci était semblable à un grognement étouffé. Ce bruit attirait follement ma curiosité. Marche par marche ce que j’entendais s'intensifiait.
Dans le noir, une silhouette se dessinée devant moi. Tout d’un coup, sans pouvoir l’expliquer les lumières s'allumèrent.
Au sol se trouvaient des restes de corps humains. J’étais submergé par plusieurs émotions, le dégoût,la peur, le stress mais j‘étais comme poussé à aller voir plus loin.
C’est alors que je le vis, enchaîné au mur, ses cheveux collés à son crâne déformé par du sang coagulé. Ses yeux exorbités, terrifiants, étaient injectés de sang. Son teint gris et sa peau fine laissait apparaître ses veines. Ses dents étaient noircies par les entrailles de ses victimes. Son corps décharné dégageait une odeur nauséabonde de putréfactions. Un zombie!
À sa gauche, sur le bureau, se trouvait ce pourquoi j' étais venu. Dans un élan de courage j' attrapais l' enveloppe et m’enfuis. Je ne me retournais pas, mon parfum l’avait excité, il remuait ses chaînes et risquait à tout moment de se libérer et de me tuer.
Je n ai jamais parler de cette histoire, la mémoire de ma femme aurait été salie par une expérience qui a mal tourné alors qu elle ne voulait que du bien à l espèce humaine.
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