Réponse :
Les Somatenes qui était armés, et n’avaient pas des coureurs, répondaient instinctivement au cri strident. Mais Vicente et ses valeureux compagnons crurent que déjà l’ennemi qu’ils craignaient, était là. Leurs armes ripostèrent, sans qu’ils en eussent conscience. Aux quatre coins de la ville, comme des échos attardés, , jaillirent des salves. Les balles sifflaient dans tous les sens, ricochaient contre les murs, assaillaient la ainsi que des essaims virulents. Tout en vidant son cargeur, Vicente hurlait :
« - A vos postes ! A vos postes ! En tirailleurs ! »
Les Somatenes s’égaillèrent entre les arbres, derrière les massifs, mais sans arrêter le. Et comme des chaînes de fer occupaient les rues des paysans, ceux-ci, en entendant la fusillade abondante de la place de la Catalogne, ouvrirent également le tir. Et la Troupe de Vicente crut que ces crépitements qui faisaient un bruit monstre, étaient une contre-attaque, et redoubla d’ardeur. Pour déchaîner ce feu puissant, quelques secondes avaient suffi. Il fallut longtemps pour le calmer.
Il m’en manque un mais j’espère que ce que j’ai fait t’aideras.
Explications :
