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Salut !

J'aurai besoin d'aide pour cet exercice de français svp :)

a.Dans ce texte autobiographique, relevez les propositions subordonnées conjonctives.

b. Relevez les propositions subordonnées relatives et leurs antécédents.

c. Qu'apporte la multiplication de ces subordonnées au récit du souvenir ?

Texte :

Ma soeur Mary se mettait au piano et jouait des airs que je n'ai reconnus que beaucoup plus tard, mais qui m'ont suivi ma vie entière. Assis sur le tapis, je collais mon oreille à la surface de bois lisse et me sentais pris dans un orage de sons qui me jetait dans un état extraordinaire où une joie touchant à l'exaltation se mêlait à une agréable fureur. J'aurais voulu que cela durât, que jamais ne prit fin l'étour- dissement que me causait le fracas des accords. À d'autres moments, je me tenais à distance du piano et ce que j'en- tendais était différent. Tous ces airs rendaient heureux, mais d'une façon particulière, car en les écoutant, on éprou- vait une tristesse qui se fondait, je ne sais comment, dans un sentiment de profond bonheur.

Julien Green, Partir avant le jour, Grasset, 1963.​

Sagot :

Bonsoir,

relevez les propositions subordonnées conjonctives.

Ma sœur Mary se mettait au piano et jouait des airs que je n'ai reconnus que beaucoup plus tard, mais qui m'ont suivi ma vie entière. Assis sur le tapis, je collais mon oreille à la surface de bois lisse et me sentais pris dans un orage de sons qui me jetait dans un état extraordinaire où une joie touchant à l'exaltation se mêlait à une agréable fureur. J'aurais voulu que cela durât,

que jamais ne prit fin l'étourdissement que me causait le fracas des accords. À d'autres moments, je me tenais à distance du piano et ce que j'entendais était différent. Tous ces airs rendaient heureux, mais d'une façon particulière, car en les écoutant, on éprouvait une tristesse qui se fondait, je ne sais comment, dans un sentiment de profond bonheur.

b. Relevez les propositions subordonnées relatives et leurs antécédents.

Ma soeur Mary se mettait au piano et jouait des airs que je n'ai reconnus que beaucoup plus tard, mais qui m'ont suivi ma vie entière. Assis sur le tapis, je collais mon oreille à la surface de bois lisse et me sentais pris dans un orage de sons qui me jetait dans un état extraordinaire

où une joie touchant à l'exaltation se mêlait à une agréable fureur. J'aurais voulu que cela durât, que jamais ne prit fin l'étourdissement que me causait le fracas des accords. À d'autres moments, je me tenais à distance du piano et ce que j'entendais était différent. Tous ces airs rendaient heureux, mais d'une façon particulière, car en les écoutant, on éprouvait une tristesse qui se fondait dans un sentiment de profond bonheur.

Elles précisent les sentiments, les impressions de l'auteur

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