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Sagot :
Denise décida d’aller jeter un dernier coup d’œil au vieux magasin malgré la peine qui envahissait son cœur elle regardait avec nostalgie et tristesse, l’endroit où elle avait passé une bonne partie de son temps. Elle se rappela ces premiers jours dans celui-ci, des jours où elle se fessait sans cesse insulter à cause de ça de sa mine de pauvre et de provinciale, des heures de travail acharné si bien que ses pieds c’était enflé et de quand elle devait faire face aux avances du patron et aux moqueries de ses collègues. Elle fermis ses yeux, se remémoras des années de travail. Des larmes coulaient le long de ces joues. Repensent à son veille oncle qui aimais cette boutique, « que le temps passe vite » se disait-elle. Même si une nouvelle vie l’attendait, elle ne pouvait oublier les nombreuses expériences qu’elle avait vécue dans ce même lieu. Le passé affectait désormais son présent. Elle observait en face d’elle la boutique dont elle a aidé malgré elle à faire faillite en postulant chez le « Bonheur des Dames ». Denise était tout de même heureuse d’avoir fait ce choix, car après des années de périples elle pouvait enfin se compétente d’une vie meilleure. Elle reconnait fortement le geste de son oncle qui avait accordé de l’hébergeait elle et ses frères.
Elle estimait que devant elle ne se trouvait plus un magasin, mais une tombe, qu’on dirait que le temps c’était stoppé, que dans cette boutique il ne se trouvait plus que des sentiments qui s’étoufferons avec le temps, tous disparaîtra laissent place a un lieu désert, insignifiant aux yeux des gens.
Elle revus à sa droite le comptoir de bois ou se tenais autrefois son oncle et les veilles étagères vides qui auparavant étais remplis à craquer de produits dérives. Et à sa gauche se tenais la porte qui menait au stockage, lui aussi vide et un peu plus loin la salle de repos ou elle avait passé très peu de temps étant donné qu’elle travailler plus que ce que son corps pouvait supporter. Elle s’imaginais encore là à travailler durement supportant le harcèlement des autres vendeuses.
Elle entendit le bruit d’une clochette qui ressemblait fortement au bruit de la petite cloche quand quelqu’un ouvrait la porte du « vieil Elbeuf » qui lui donna des frissons. Mais elle ne regrettait rien. Elle était heureuse d’avoir ce nouveau poste et le considérait comme une récompense. Elle en conclut juste, que le « Bonheur des Dames » vivait grâce aux faillites des petits commerces.
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