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Bonjour pouvez-vous m’aider pour la rédaction ​

Bonjour Pouvezvous Maider Pour La Rédaction class=

Sagot :

Voila la rédac, c vraiment nul ce que j'ai fait désolée , j'ai essaye de t'aider mais vraiment c nul.... (j’espère que t'écris petit : } )

Un autre truc je ne sais pas si tu le sais mais dans une rédaction il faut faire des paragraphes, et à chaque nouveau paragraphe faire un alinéa, c'est-à-dire laisser deux/trois carreaux avant de commencer sa phrase.

C'était un jour de printemps,en mai. Je ne me souviens plus trop, peut-être le vingt, ou alors le vingt-un. Le soleil allait bientôt se couchait et je devais me préparait. Un de mes proches m'avait proposé de faire connaissance avec son frère. Cependant je connaissais Jean, je savais quelle genre de personne il était. Il buvait souvent, ramenait des filles chez lui, il n'était pas tout le temps respectueux. Malgré cela on était proches. Pendant un instant je m'imaginais son frère, et l'image que j'eus de lui me glaça le sang. Dans un premier temps je refusai, mais je finis par accepter, dans un soupir las. Le rendez-vous était prévu en fin de soirée. Je m'étais préparé à l'avance, mais j'étais nerveux, et peu à peu l'anxiété gagna du terrain.

Quand soudain quelqu'un sonna. J'ouvris avec précaution et vis Jean accompagné de son frère. Je les fis entrer, et leur proposa une boisson. Mon ami accepta, et me demande un thé, son frère, dont j'ignorais le prénom, grogna et me lança un regard noir. Je poussai un soupir d'exaspération, puis filai vers la cuisine. Quand je revins avec son infusion, Jean me regarda et regarda son frère. Comme si j'allais engager la conversation ! Il connaissait pourtant ma personnalité timide et discrète. Enfin il se tourna vers son frère, ils se chuchotèrent quelques mots, puis son frère, qui avait pour prénom Martin,posa un paquet de carte, sur la table, autour de laquelle on était assis.

Je compris alors que j'avais été piégé. Jean lut l'incompréhension et la détresse dans me yeux, et m'expliqua la situation. Son frère, nommé Martin avait besoin d'argent, et sachant que j'en avais, il voulait faire un jeu pour en gagner. Je paniquai

mais je savais que si je refusais, j'aurais Martin sur le dos pour le restant de mes jours, et vu comment il me fixait... J'acceptai non sans volonté. La partie commença, l'inconvénient c'était que j'étais plus incompétent quand il s'agissait de cartes. La règle : je devais le battre en trois coups et inversement. Pour le moment, j'avais déjà été battu deux fois. On tira chacun une nouvelle carte, et quand je vis qu'il avait de nouveau gagné, je m'effondrai. Un sourire en coin apparut sur le visage de mon adversaire, et je suis que c'était mauvais signe. Sur le bord de la table, il y avait l'argent donc on avait parié. Il s'en empara d'un coup, et je le laissa faire, dépité.

Mais au lieu de partir, il sortit un revolver de sa poche de son manteau et le pointa sur moi, en me hurlant de me donner plus d'argent et mon ami s'effondra sur le sol et ne bougea plus. J'étais terrassé. Puis il vida tous mes tiroirs ou se trouvait les bijoux de famille, je n'osai bouger de peur. Soudain il passa devant une coupe d'or et voulut la prendre, c'était ma fierté. Sans réfléchir je lui bondis dessus. Cependant, il fut plus rapide, et sans comprendre, je ressentis une horrible douleur au ventre, comme si je me déchirais de l'intérieur. Il m'avait tiré dessus. Tout devint noir autour de moi, la seule chose que j’aperçus avant de m'effondrai a mon tour, fut mon agresseur qui s'enfuyait avec son butin.

Je me réveillai à l'hôpital, je dus y rester deux semaines. J'appris aussi que Jean était mort, et une immense m'envahit. Tout cette histoire m'avait réfléchir, je déménageais loin d'ici, et à parti je n’ouvris plus à personne.

Je pose mon stylo, et observe mon récit, plus détendu.

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