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Sagot :
Quand j’avais 6 ans j’ai vécu de l’injustice, j’étais scolarisée dans une école dans ma ville. J’avais sauté une classe car je m’ennuyais en Cp. Je savais déjà lire et écrire. J’étais donc en Ce1 avec des élèves plus grands que moi. Je n’avais pas d’amis car je n’arrivais pas à m’intégrer et cela me rendais triste. J’essayais en vain de jouer avec mes camarades mais ils me laissaient souvent à l’écart. Je passais mes récrés seules à contempler les autres.
Un jour, c’était en hiver je me souviens bien, trois garçons de ma classe était venus vers moi. Ils me parlèrent gentiment au début puis ils commencèrent à être violent. L’un m’avais tiré les cheveux tandis que les deux autres me ruaient de coups.
Quand ils partirent mes larmes coulèrent. J’étais blessé physiquement mais aussi moralement.
Je n’ai rien dit à Maman j’avais peur qu’elle s’énerve.
Le lendemain ces garçons la revinrent me voir. Je fuyait mais ils me rattrapaient toujours. Ainsi mon quotidien était durant un mois. Jusqu’au jour où je décide d’en parler à Maman.
Elle était partie voir la maîtresse et à la grande surprise de Maman c’est moi qui fus exclu de l’établissement. Car, disaient-ils que je ne répondais pas aux bonnes mœurs et ainsi justifiaient-ils ces actes horribles.
Un jour, c’était en hiver je me souviens bien, trois garçons de ma classe était venus vers moi. Ils me parlèrent gentiment au début puis ils commencèrent à être violent. L’un m’avais tiré les cheveux tandis que les deux autres me ruaient de coups.
Quand ils partirent mes larmes coulèrent. J’étais blessé physiquement mais aussi moralement.
Je n’ai rien dit à Maman j’avais peur qu’elle s’énerve.
Le lendemain ces garçons la revinrent me voir. Je fuyait mais ils me rattrapaient toujours. Ainsi mon quotidien était durant un mois. Jusqu’au jour où je décide d’en parler à Maman.
Elle était partie voir la maîtresse et à la grande surprise de Maman c’est moi qui fus exclu de l’établissement. Car, disaient-ils que je ne répondais pas aux bonnes mœurs et ainsi justifiaient-ils ces actes horribles.
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