Laurentvidal.fr facilite la recherche de réponses à toutes vos questions avec l'aide de notre communauté active. Découvrez une mine de connaissances d'experts dans différentes disciplines sur notre plateforme de questions-réponses complète. Obtenez des réponses détaillées et précises à vos questions grâce à une communauté dédiée d'experts sur notre plateforme de questions-réponses.

Réécriture. Réécris ce texte en remplaçant « un homme » par « des hommes ». Faites toutes les modifications nécessaires.


Je vis venir rue de Tournon un homme
que des soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard.
Il avait sous le bras un pain. Le peuple
disait autour de lui qu'il avait volé ce pain et que c'était à cause de cela qu'on
l'emmenait. En passant devant la
caserne de gendarmerie, un des soldats
y entra, et l'homme resta a la porte
gardé par les autres soldats.

merciiiiiii​

Sagot :

Réponse:

Je vis venir rue de Tournon des hommes

que des soldats emmenaient. Ces hommes étaient blond, pâles, maigres, hagards.

Ils avaient sous le bras des pains. Le peuple disait autour d'eux qu'ils avaient volé ces pains et que c'était à cause de cela qu'on les emmenaient. En passant devant la caserne de gendarmerie, un des soldats y entra, et les hommes restèrent à la porte gardés par les autres soldats.

Réponse :

Bonsoir

Explications :

Réécriture. Réécris ce texte en remplaçant « un homme » par « des hommes ». Faites toutes les modifications nécessaires.

Je vis venir rue de Tournon un homme

que des soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard.

Il avait sous le bras un pain. Le peuple

disait autour de lui qu'il avait volé ce pain et que c'était à cause de cela qu'on

l'emmenait. En passant devant la

caserne de gendarmerie, un des soldats

y entra, et l'homme resta a la porte

gardé par les autres soldats.

Réécriture. Réécris ce texte en remplaçant « un homme » par « des hommes ». Faites toutes les modifications nécessaires.

___________________________________________________________

Ma réponse

Je vis venir rue de Tournon des hommes

que des soldats emmenaient. Ces hommes étaient blonds, pâles, maigres, hagards.

Ils avaient sous le bras leur pain. Le peuple

disait autour de lui qu'ils avaient volé ce pain et que c'était à cause de cela qu'on

les emmenait. En passant devant la

caserne de gendarmerie, un des soldats

y entra, et des hommes restèrent a la porte

gardés par les autres soldats.

Merci de votre passage. Nous nous engageons à fournir les meilleures réponses à toutes vos questions. À bientôt. Nous apprécions votre temps. Revenez quand vous voulez pour obtenir les informations les plus récentes et des réponses à vos questions. Merci d'utiliser Laurentvidal.fr. Revenez pour obtenir plus de connaissances de nos experts.