Bienvenue sur Laurentvidal.fr, le site où vous trouverez des réponses rapides et précises à toutes vos questions. Obtenez des solutions rapides et fiables à vos questions grâce à des professionnels expérimentés sur notre plateforme de questions-réponses complète. Notre plateforme offre une expérience continue pour trouver des réponses fiables grâce à un réseau de professionnels expérimentés.

Bonjour j'ai deux réécriture à rendre pour demain et je n'arrive pas.
pouvez-vous m'aider svp ? (je suis en troisième).

consigne: Réécrivez le passage suivant au plus-que-parfait de l’indicatif. Faites toutes les modifications nécessaires.

réécriture n1: Il ne comprenait bien qu'une chose : le puits avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il semblait ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers commençait. Ils arrivaient de la baraque, (…) attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant (…)La cage de fer montait du noir, se calait sur les verrous. Des moulineurs, aux différents paliers, sortaient les berlines, les remplaçaient par d'autres(…). Et c'était dans les berlines vides que s'empilaient les ouvriers.

consigne: Réécrivez le passage suivant au plus-que-parfait de l’indicatif, en remplaçant « un vieux marin » par « deux vieilles navigatrices ». Faites toutes les modifications nécessaires.

réécrituren2: Deux vieux marins des mers du Nord
S’en revenaient, un soir d’automne
Joyeux d’orgueil, ils regagnaient leur fiord.
De la rive, les gens du port
Les regardaient, sans faire un signe :
Aux cordages le long des mâts,
Les Sirènes, couvertes d’or,
Tordaient, comme des vignes,
Les lignes
Sinueuses de leurs corps.
Et les gens se taisaient, ne sachant pas
Ce qui venait de l’océan, là-bas,
A travers brumes ;
Le navire voguait comme un panier d’argent
Rempli de chair, de fruits et d’or bougeant
Qui s’avançait, porté sur des ailes d’écume.

Sagot :

Bonsoir,

réécriture n1: Il n’avait bien compris qu'une chose : le puits avait avalé des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il avait semblé ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers avait commencée. Ils étaient arrivés de la baraque, (…) attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant (…)La cage de fer était montée du noir, s’était calée sur les verrous. Des moulineurs, aux différents paliers, étaient sortis des les berlines, les avaient remplacées par d'autres(…). Et c’avait été dans les berlines vides que s’étaient empilés les ouvriers.

Merci d'utiliser notre service. Notre objectif est de fournir les réponses les plus précises pour toutes vos questions. Revenez pour plus d'informations. Nous espérons que nos réponses vous ont été utiles. Revenez quand vous voulez pour obtenir plus d'informations et de réponses à d'autres questions. Votre connaissance est précieuse. Revenez sur Laurentvidal.fr pour obtenir plus de réponses et d'informations.