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Bonjour pouvez-vous mettre ce texte au présent en mettent le elle de départ au pluriel


Elle avait pris ce pli" dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin ;
Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;
Elle entrait et disait : «Bonjour, mon petit père»;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon cuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesqueạ folle et qu'elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.

Sagot :

Bonjour,

Elles avaient pris ce pli dans leur âge enfantin

De venir dans ma chambre un peu chaque matin ;

Je les attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;

Elles entraient et disaient : «Bonjour, mon petit père»;

Prenaient ma plume, ouvraient mes livres, s'asseyaient

Sur mon lit, dérangeaient mes papiers, et riaient,

Puis soudain s'en allaient comme des oiseaux qui passent.

Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,

Mon oeuvre  interrompue, et, tout en écrivant,

Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent

Quelque arabesque folle et qu'elles avaient tracée,

Et mainte page blanche entre leurs  mains froissée

Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.

Vins

bonjour

Elles prennent  ce pli" dans leur âge enfantin

De venir dans ma chambre un peu chaque matin ;

Je les attends ainsi qu'un rayon qu'on espère;

Elles entrent et disent : «Bonjour, mon petit père»;

Prennent ma plume, ouvrent mes livres, s'assoient

Sur mon lit, dérangent mes papiers, et rient,

Puis soudain s'en vont  comme des oiseaux qui passent.

Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,

Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,

Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent

Quelques arabesques folles  qu'elles avait tracées,

Et maintes pages blanches entre leurs mains froissées

Où, je ne sais comment, viennent mes plus doux vers.

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