Réponse :bonjour
Dans l’oeuvre de Thomas d’Aquin , Somme théologique , le philosophe considère la croyance en Dieu comme une vérité qui apparaît et qui Illumine l’esprit , elle n’aurait pas besoin de considérations rationnelles car elle parle au cœur du croyant. Il disait à cet égard que <l’ensemble de mes actions sont tournées vers dieu seul>
le sujet est-il déraisonnable de croire en Dieu frappe l’esprit car il contient un paradoxe : En effet, il associe la raison à la croyance. Il implique d’apporter des raisons et une logique à la croyance en dieu, qui justement implique de délaisser la vie mondaine et ses raisonnements . De plus, le sujet invite à considérer la croyance en dieu comme insensé , elle serait une perte de temps pour l’homme car il n’aurait pas de raison valable pour croire. Cependant , ce constat se confronte à l’expérience commune des hommes.En effet, croire en Dieu semble être une inclinaison qui a animé les hommes et cela à travers les civilisations. De plus , par le détachement aux considérations mondaines qu’implique une telle croyance , elle ne sérait pas le fruit d’un calcul de la raison , mais plutôt d’une orientation de notre ame, mais alors cette <raison du cœur> comme l’appelait pascal serait-elle une perte de temps ? Un fantasme de l’être humain qui n’aurait que pour but de le rassurer ou de le faire espèrer ?
Alors ,la problématique de ce devoir est de comprendre si la croyance en dieu n’est qu’un fantasme de l’homme qui ne le lui profiretait en rien?.
Partie 1: la croyance en dieu ne serait qu’un fanstame de l’homme qui ne lui appportérait aucun bénéfice , elle serait alors déraisonnable
parie 2 : Cependant , par la transcendance que parvient à creer la croyance en dieu chez l’homme , elle ne serait pas déraisonnable car elle lui permettrait de s’élever aux dessus des considérations mondaines et de se trouver animé d’une fibre créatrice ( à l’image de thomas d’aquin)
partie 3 : en définitive , l’homme pourrait cultiver son esprit par l’éducation êt considérer la croyance en dieu comme une question à laquelle il doit méditer, le questionnement qu’impliquerait la croyance en dieu , quel que soit le résultat , permettrait alors à l’homme d’animé et d’élever sa raison
voila bon courage pour le travail
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