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Sagot :
Il faisait sombre. Jamais je n’aurais pensé me retrouver ici. L’immense manoir dans lequel je me trouvais, était parsemé de longs couloirs dont nous ne pouvons voir la fin.
Cela faisait maintenant plusieurs heures que j’attendais derrière la porte. C’était une porte en bois, vieillie par le temps, et dont la peinture verdâtre était écaillée. C’est alors qu’une homme âgé ouvrit sèchement la porte et m’autorisa solennellement à entrer. Je découvrais alors une vaste pièce. Une terne table en acajou trônait au milieu de la pièce, et posée sur celle-ci une somptueuse robe blanche. La décoration était démodée, un style du temps de la Régence. Devant la table et de dos, se dessinait la silhouette d’une jeune femme frêle. Ses belles boucles blondes lui tombaient sur la nuque et un chapeau de feutre bleu était posé sur sa tête. Je m’approchais de plus en plus. Soudain, je vis ses cheveux noircir puis sa robe de mousseline flétrir. Son élégant chapeau n’était plus qu’un pauvre fichu rapiécé.
J’ai commencé à toi de finir :)
Cela faisait maintenant plusieurs heures que j’attendais derrière la porte. C’était une porte en bois, vieillie par le temps, et dont la peinture verdâtre était écaillée. C’est alors qu’une homme âgé ouvrit sèchement la porte et m’autorisa solennellement à entrer. Je découvrais alors une vaste pièce. Une terne table en acajou trônait au milieu de la pièce, et posée sur celle-ci une somptueuse robe blanche. La décoration était démodée, un style du temps de la Régence. Devant la table et de dos, se dessinait la silhouette d’une jeune femme frêle. Ses belles boucles blondes lui tombaient sur la nuque et un chapeau de feutre bleu était posé sur sa tête. Je m’approchais de plus en plus. Soudain, je vis ses cheveux noircir puis sa robe de mousseline flétrir. Son élégant chapeau n’était plus qu’un pauvre fichu rapiécé.
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