Réponse:
5) Les adultes n'ont pas cru Rousseau car il était la seul personne plausible d'avoir fait ce méfait, étant le plus près du lieu de l'incident, et seul. Ils le titillent et essaient de le forcer à avouer par tous les moyens: "[les adultes] m'exhorte, me pressent, me menace" et "parurent digne de punition". Ils ont donc décidés que Rousseau était coupable.
6)Rousseau tient bon, et s'entête : " on ne put m'arracher l'aveu" et jure devant Dieu son innocence: "je déclare à la face du Ciel que j'étais innocent"
7)Pour moi, Rousseau s'est retrouvé face à un sentiment d'injustice très prononcé vis-à-vis de ses proches, ce qui l'a touché et ébranlé étant enfant, et n'a pas assouvi son besoin de justice et de reconnaissance envers sa parole, ce pourquoi il ressent encore le besoin de clamer son innocence. L'expression "j'aurais souffert la mort, j'y étais résolu" traduit la sincérité de ses dires car il mettrait sa propre vie en jeu dans cette affaire, et il n'y a rien au-dessus qui pourrait le contester.
Explications:
j'espère que je t'aurai aidé pour une autre fois, essaie quand même de faire le rapprochement entre mes réponses, les questions et le texte ça aide à progresser voilà mais après fais comme tu veux...
