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Sagot :
Bonjour,
La vie des enfants du XIXe siècle ne ressemblait pas à l'existence de ceux d'aujourd'hui.
Ils étaient souvent intégrés dans des familles fort nombreuses et les conditions de vie y étaient misérables.
Ils souffraient de la faim, souvent du froid et très vite il leur fallait partir au travail afin de ramener un peu d'argent pour améliorer le budget de la famille.
Ils dormaient parfois à 5 ou 6 dans un même lit, le père, désespéré par ses conditions de travail, sombrait parfois dans l'alcoolisme, des enfants de moins de 10 ans travaillaient dans les charbonnages....
La plupart d'entre eux ne fréquentaient pas l'école ou bien ils y allaient de manière intermittente, ils ignoraient le plus souvent la lecture.
Leur vie pénible d'enfants se poursuivait à l'âge adulte, ils étaient astreints à des travaux pénibles, des horaires de 10 voire 12 heures de travaux journaliers, aucune protection sociale, pas de congés ... et des salaires de misère.
Si, aujourd'hui, la moyenne de vie de nos populations atteint environ 80 ans, les enfants du XIXe siècle ne pouvaient compter que sur une existence qui dépassait, en moyenne, rarement les 40 ans.
( Ma grand - mère m'a raconté qu'enfant, à la fin du XIXe siècle, elle habitait une ferme. Elle avait eu la chance de fréquenter un peu l'école mais, en octobre, avec la récolte des betteraves, les enfants devaient accompagner les adultes dans les champs pour remplir les chariots qui étaient tirés par des chevaux aux lourds sabots.
A 11 ans, ma grand-mère et ses soeurs aspergeaient leurs longs cheveux avec de la bière qu'elles imbibaient de sucre en poudre afin de les raider.
Cela leur permettait de se baisser pour ramasser une ou deux betteraves, de se redresser et de les jeter dans le chariot sans que les cheveux leur retombent sur la figure.
J'ai retrouvé quelques écrits de ma grand-mère....je n'y ai découvert aucune faute d'orthographe ).
J'espère avoir pu t'aider.
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