Réponse :
Explications :
bonjour
Ce matin , je me suis levé avec un drôle de pressentiment, j'ignore encore les raisons mais cette journée risquait d'être inoubliable. Elle l'a été de bout en bout. Mais le meilleur restait à venir.
En rentrant de l'école après une journée horrible, j'arrive devant le seuil de ma porte qui est d'habitude ouverte car mes parents ne me font pas encore confiance pour avoir une clef de la maison.
Je veux ouvrir la porte et la bizarrement elle ne s'ouvre pas.
Je suis surpris, puis je décide de recommencer l'opération donc je pose ma main sur la poignée de la porte et je pousse un peu, me disant qu'elle est peut être coincée. Rien n'y fait.
Je réitère mon action à plusieurs reprises, et elle ne s'ouvre toujours pas. Tout doucement la colère me monte au nez et je tambourine violemment la porte , faisant beaucoup de bruits, au point que la voisine, revenant de son travail me voit, interloquée par mon drôle de comportement. Elle finit par rentrer chez elle en pensant que j'étais un enfant dérangé.
Je finis par me calmer en reprenant mon souffle.
Je décide de sonner a plusieurs reprises et personne ne répond.
Je me dis que ce n'est pas possible, je passe un enfer à l'école, et maintenant cette porte d'entrée qui ne s'ouvre pas.
Mon pressentiment s'était avéré être juste.
Puis, soudainement je me sens épuisé, je commence a avoir faim, et je me mets a pleurer car je craque.
Je m'assieds sur le seuil de la porte et je pleure toutes les larmes de mon corps.
Quelques minutes se sont écoulées. Je ne me décourage pas, j'ai pris mon courage a deux mains et je décide d'entrer coute que coute dans ma maison.
Je le prends le temps de la réflexion et je me rappelle que ce matin j'ai laissé la fenêtre de ma chambre ouverte.
J'avais espoir que mes parents ne l'ont pas refermée en partant.
Je fais donc le tour de la maison et je suis soulagé et étonné de la trouver encore ouverte.
Une fois devant elle, je devais trouver un moyen de l'atteindre. Puis j'ai pensé à la vieille échelle en bois que mon père gardait dans le jardin même si elle était délabrée
Je me suis dépêché de la récupérer avant que la nuit tombe car il commençait a se faire tard.
Une fois mise ne place sous la fenêtre, j'ai ressenti la peur au ventre a l'idée de monter sur une échelle en très mauvaise état.
J'ai monté une marche et puis deux puis arrivé au milieu je m'appuyais sur la marche qui s'est brisée et je me suis rattrapé de justesse sur la marche inférieure.
Je poursuivais mon ascension jusqu'à ma fenêtre et des que je m'apprêtais à franchir le bord de ma fenêtre, j'entends la sirène de la police.
J'étais comme pétrifié, j'étais tétanisé.
Je vois les policiers arriver dans ma direction et une fois proche de l'échelle, ils me demandent de redescendre immédiatement.
J'obéis a leurs ordres et descend lentement et prudemment.
Puis ils constatent que je suis mineur et décident de me ramener au commissariat de police pour m'expliquer sur mon drôle de comportement.
Je n'avais pas de réponse a leur donner car j'étais a bout de force et affamé. J'étais désespéré car je pensais a mes parents qui n'étaient pas la pour m'aider. J'allais fondre en larmes quand a ma grande surprise, je vois la voiture de mes parents se rapprocher de la voiture des policiers.
Je souris, heureux de les revoir.
Mes parents donnent toutes les explications nécessaires aux policiers qui finissent par s'en aller.
mes parents m'embrassent et me rassurent et me promettent de me faire confiance et de me donner enfin une clef pour que je puisse rentrer.
voila j'ai ecrit selon tes directives en esperant t avoir aider
Réponse :
bonjour
Explications :
1. (introduction) Ce vendredi soir après les cours (quand ?) , je (qui?) suis rentré du lycée tout joyeux en direction de la maison (où?) . Le weekend s'annonçait chargé certes, à cause des devoirs mais en même temps plein de surprises car je fêtais mon anniversaire.
2. (développement) Arrivant chez moi , heureux de retrouver mes parents, je me suis précipité vers l'entrée, ai actionné la poignée de la porte et ai eu la désagréable surprise de constater que celle-ci était fermée à clé. Je cherchai alors dans mon sac à dos mes clés mais j'avais dû les oublier car je ne les trouvai pas . J'ai alors pressé la sonnette mais rien ! Personne ! Pas un bruit ! Mais où étaient donc mes parents ? Je m 'en voulais d'être toujours tête en l'air ! Ce n'était pas la première fois que j'oubliais mes clés, mes papiers d'identité, un bouquin ou un cahier pour les cours . Pourquoi mes parents étaient-ils absents? L'inquiétude montait en moi , la colère aussi mais je ne pouvais que m'en prendre à moi- même après tout !
Je fis alors le tour de la maison et aperçus que la fenêtre de ma chambre au premier étage était ouverte . Il fallait absolument que je réussisse à entrer mais comment ? Je pensai soudain à la vieille échelle dont mon père se servait pour tailler les arbres. Je me débarrassai de mon sac à dos en le jetant parterre , courus chercher l'échelle et la plaçai , avec contre la façade pour pouvoir atteindre la fenêtre. Je grimpai quand un barreau, sous mon poids, se brisa. Je faillis tomber mais me rattrapai de justesse!
Après des efforts intenses, j'atteignis enfin le premier étage et m'apprêtai à enjamber la fenêtre quand la sirène d'une voiture de police me pétrifia sur place. Deux policiers accoururent, m'obligèrent à redescendre de mon échelle et me traitèrent de voleur et de voyou ! J'avais beau leur expliquer la situation, ils ne voulaient rien entendre! J'en aurais pleuré : tous mes efforts pour rien et en plus j'étais incapable de prouver mon innocence! Ils allaient m'embarquer au commissariat quand mes parents arrivèrent, fous d'inquiétude en voyant une voiture de police garée devant la maison .
Après avoir écouté les explications des policiers, mes parents, furieux, expliquèrent qu'ils avaient dû rendre visite en urgence à ma grand-mère malade, qu'ils n'avaient pas eu le temps de me prévenir et qu'ils confirmaient bien que j'étais leur fils et non un cambrioleur. Je dus avouer que j 'avais encore oublié mes clés et promis que je serai dans l'avenir plus responsable et plus attentif à mes affaires.
3. (conclusion) Le lendemain, je crus l 'incident oublié puisque on fêtait mon anniversaire mais mes parents eux, l'avaient toujours en tête : ils me demandèrent de fermer les yeux, de tendre le bras... " M'offraient-ils un bracelet?"....et là je sentis comme une chaîne à mon poignet et un petit bruit sec . Surprise : mon trousseau de clés se trouvait attaché à mon bras, avec un cadenas ! Beaucoup d'humour mes parents !!!
Voilà à toi de voir si ces quelques lignes te conviennent ou arrange si tu as besoin ;) bon courage !
