cyliabeaumont
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4 a. Conjuguez les verbes entre parenthèses au sub-
jonctif présent.
b. Justifiez l'emploi de ce mode dans chaque phrase,
en expliquant pourquoi le fait évoqué n'est pas perçu
comme actuel.
1. [Un homme malheureux] n'aura d'action sur nous qu'au-
tant qu'il nous comprendra, et, pour qu'il nous (comprendre),
il faut qu'il (avoir) à nous faire une confidence en retour de
la nôtre.
2. Qu'on (être) pur ou impur, petit ou grand, il y a toujours
vanité, vanité puérile et malheureuse, à entreprendre sa
propre justification.
3. Qu'aucun de ceux qui m'ont fait du mal ne (s'effrayer), je
ne me souviens pas d'eux ; qu'aucun amateur de scandale
ne (se réjouir), je ne l'écris pas pour eux.
4. Que ma bonne (se consoler) et (s'attendre) à me voir l'oreille
découverte.
George Sand, Histoire de ma vie, 1855. merci​

Sagot :

Réponse:

1

qu'il nous comprenne

il faut qu'il ait

2

qu'on soit

3

ne s'effraye

ne se réjouisse

4

se console et s'attende

Quand est exprimé un sentiment, un désir, un souhait, un ordre ou une attente,

- on utilise le subjonctif car on ne peut jamais savoir si cela va se réaliser.

Le subjonctif est le temps du doute, de l'incertitude et de l'éventualité comme un souhait, une prière ou une possibilité

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