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Sagot :
Tu peux raccourcir et tout mais je pense que tu trouveras tout ce que tu as besoin :))
Il y a plusieurs raisons qui poussent quelqu’un a changé de vie. Les causes sont multiples et rarement uniques. Certains recherchent une meilleure qualité de vie. Que ce soit sur le plan économique, social, sanitaire ou éducatif. Parfois, un mélange de tout ça… lorsqu’il s’agit d’un choix. Lorsque l’on doit changer de pays par contrainte, c’est autre chose. C’est la sécurité, la vie humaine qui prédomine le choix de quitter ou non le pays. En effet, si l’être humain est menacé dans un de ses droits, ce dernier est contraint de quitter la vie qu’il vit. Il est question de menaces graves, qui peuvent nuire non seulement au quotidien de la personne, mais à sa vie et aux gens de son entourage. parle souvent de la situation que les immigrants vivent une fois dans le pays d’accueil. Mais il y a aussi des conséquences pour les pays d’origine et pour les pays d’accueil.
Pour le pays d’origine
La première conséquence est l’exode des cerveaux. Souvent, ceux qui quittent leur pays d’origine ont une formation leur permettant d’accumuler assez d’argent pour aller s’établir ailleurs. Du moins, ceux qui le font volontairement. Cela a forcément un impact sur l’économie du pays, mais aussi sur ses politiques et sur la qualité des services offerts à la population. Il s’agit d’une roue qui tourne et qui fait en sorte que la pauvreté est toujours présente. Le fait d’envoyer de l’argent à la famille ne change rien à la situation. De plus, cela a aussi un impact sur la population. En fait, un immigrant qui réussit dans son pays d’accueil influencera ses compatriotes du pays d’origine. Ces derniers voudront reproduire le modèle qu’ils voient. Aussi, pour beaucoup de migrants, un retour en arrière est impossible, surtout quand ils se sont habitués au rythme du pays d’accueil.
Pour les pays d’accueil
Pour les pays d’accueil, il y a des conséquences positives et négatives. Par exemple, on pense à la main d’œuvre. Notamment dans le monde agricole ou dans les manufactures. Aussi, cela permet pour les locaux d’entrer en contact avec des gens venant d’ailleurs. Cela a aussi un impact sur la démographie, qu’elle soit naturelle ou non. Par contre, la gestion des migrants est parfois difficile. Certains politiciens sont favorables à la migration et tentent de mettre en place des politiques pour bien l’encadrer. Mais l’inverse existe aussi. Au quotidien, l’impact est aussi important. Certains milieux ne savent pas comment accueillir les nouveaux arrivants. Et c’est sans compter sur les commentaires négatifs des gens qui ne connaissent rien de la réalité des migrants. La question des réfugiés est toujours délicate. Faut-il les accueillir ? Si oui, comment procède-t-on ?
Pour les migrants
Il ne faut pas oublier que pour un migrant, il recommence sa vie à zéro. Il doit reconstruire son réseau social, retrouver ses repères, éventuellement apprendre une langue, se trouver du travail, un endroit où vivre, etc. Lorsque l’on arrive dans un nouvel environnement, les responsabilités sont lourdes et causent énormément de stress. L’instinct de survie est donc présent. Mais cela est variable à la façon dont se passe le processus. Quelqu’un qui arrive dans un nouvel environnement en étant préparé n’aura pas le même vécu qu’un réfugié. Plusieurs aspects sont à tenir en compte lorsque l’on est en contact avec un mirant. Les facteurs culturels, psychologiques, spirituels, identitaires, linguistiques ou autres. En fait, même s’il s’agit d’une nouvelle page, elle n’est pas vierge. Un être humain est comme un livre, il a une histoire, un vécu à prendre en compte.
Si l’intégration se passe mal, des conséquences à long terme sont à considérer. On pense au fait de ne pas travailler ou de n’avoir aucune autonomie, parce qu’on ne parle pas la langue et qu’il nous est impossible de l’apprendre. Le fait de ne pas fréquenter certains milieux que ce soit des centres culturels de notre communauté d’origine ou d’accueil est aussi un indice que l’on doit remarquer. Il ne faut pas oublier qu’il y a une grande partie de la population immigrante qui refuse de s’intégrer. Ceux qui s’assimilent sont très peu nombreux. Pourtant, ce n’est pas l’image que l’on a.
La migration en bref
En bref, comme je le dis souvent dans les textes du blogue, il faut de l’éducation pour que la conciliation entre immigrants/locaux se fasse bien. Mais l’éducation doit se faire des deux côtés et surtout sans dénaturer l’autre. Parce qu’il ne faut pas oublier qu’il y a une différence entre intégration et assimilation.
Il y a plusieurs raisons qui poussent quelqu’un a changé de vie. Les causes sont multiples et rarement uniques. Certains recherchent une meilleure qualité de vie. Que ce soit sur le plan économique, social, sanitaire ou éducatif. Parfois, un mélange de tout ça… lorsqu’il s’agit d’un choix. Lorsque l’on doit changer de pays par contrainte, c’est autre chose. C’est la sécurité, la vie humaine qui prédomine le choix de quitter ou non le pays. En effet, si l’être humain est menacé dans un de ses droits, ce dernier est contraint de quitter la vie qu’il vit. Il est question de menaces graves, qui peuvent nuire non seulement au quotidien de la personne, mais à sa vie et aux gens de son entourage. parle souvent de la situation que les immigrants vivent une fois dans le pays d’accueil. Mais il y a aussi des conséquences pour les pays d’origine et pour les pays d’accueil.
Pour le pays d’origine
La première conséquence est l’exode des cerveaux. Souvent, ceux qui quittent leur pays d’origine ont une formation leur permettant d’accumuler assez d’argent pour aller s’établir ailleurs. Du moins, ceux qui le font volontairement. Cela a forcément un impact sur l’économie du pays, mais aussi sur ses politiques et sur la qualité des services offerts à la population. Il s’agit d’une roue qui tourne et qui fait en sorte que la pauvreté est toujours présente. Le fait d’envoyer de l’argent à la famille ne change rien à la situation. De plus, cela a aussi un impact sur la population. En fait, un immigrant qui réussit dans son pays d’accueil influencera ses compatriotes du pays d’origine. Ces derniers voudront reproduire le modèle qu’ils voient. Aussi, pour beaucoup de migrants, un retour en arrière est impossible, surtout quand ils se sont habitués au rythme du pays d’accueil.
Pour les pays d’accueil
Pour les pays d’accueil, il y a des conséquences positives et négatives. Par exemple, on pense à la main d’œuvre. Notamment dans le monde agricole ou dans les manufactures. Aussi, cela permet pour les locaux d’entrer en contact avec des gens venant d’ailleurs. Cela a aussi un impact sur la démographie, qu’elle soit naturelle ou non. Par contre, la gestion des migrants est parfois difficile. Certains politiciens sont favorables à la migration et tentent de mettre en place des politiques pour bien l’encadrer. Mais l’inverse existe aussi. Au quotidien, l’impact est aussi important. Certains milieux ne savent pas comment accueillir les nouveaux arrivants. Et c’est sans compter sur les commentaires négatifs des gens qui ne connaissent rien de la réalité des migrants. La question des réfugiés est toujours délicate. Faut-il les accueillir ? Si oui, comment procède-t-on ?
Pour les migrants
Il ne faut pas oublier que pour un migrant, il recommence sa vie à zéro. Il doit reconstruire son réseau social, retrouver ses repères, éventuellement apprendre une langue, se trouver du travail, un endroit où vivre, etc. Lorsque l’on arrive dans un nouvel environnement, les responsabilités sont lourdes et causent énormément de stress. L’instinct de survie est donc présent. Mais cela est variable à la façon dont se passe le processus. Quelqu’un qui arrive dans un nouvel environnement en étant préparé n’aura pas le même vécu qu’un réfugié. Plusieurs aspects sont à tenir en compte lorsque l’on est en contact avec un mirant. Les facteurs culturels, psychologiques, spirituels, identitaires, linguistiques ou autres. En fait, même s’il s’agit d’une nouvelle page, elle n’est pas vierge. Un être humain est comme un livre, il a une histoire, un vécu à prendre en compte.
Si l’intégration se passe mal, des conséquences à long terme sont à considérer. On pense au fait de ne pas travailler ou de n’avoir aucune autonomie, parce qu’on ne parle pas la langue et qu’il nous est impossible de l’apprendre. Le fait de ne pas fréquenter certains milieux que ce soit des centres culturels de notre communauté d’origine ou d’accueil est aussi un indice que l’on doit remarquer. Il ne faut pas oublier qu’il y a une grande partie de la population immigrante qui refuse de s’intégrer. Ceux qui s’assimilent sont très peu nombreux. Pourtant, ce n’est pas l’image que l’on a.
La migration en bref
En bref, comme je le dis souvent dans les textes du blogue, il faut de l’éducation pour que la conciliation entre immigrants/locaux se fasse bien. Mais l’éducation doit se faire des deux côtés et surtout sans dénaturer l’autre. Parce qu’il ne faut pas oublier qu’il y a une différence entre intégration et assimilation.
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