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Sagot :
Bonjour j’avais fait quelque chose de similaire une fois bken évidemment c’est juste des idées n’oubli pas de reformuler avec tes mots
En espérant t’avoir aider
Je me trouvais là, assise sur l'herbe bordant cette falaise, une impression de grand vide si je m'approchait d'un pas. L'air frais me brûlait la peau,et venait caresser l'herbe tendrement jaunie par le soleil. Je touchais cette plaine doucement piquante, me rappelant la couverture dans laquelle j'avais pour habitude de dormir et de rêver à de meilleurs mondes. La pâleur de la boule de feu jaune éclairant le paysage présentait comme un nouvel espoir, était parfois cachée par des nuages de coton, me ramenant à la réalité. Les cuis-cuis des oiseaux trop maigres à mon goût, décorant le ciel, était le seul bruit que l'on pouvait percevoir. Soudain, rien , plus un bruit, le vide dans le ciel, ses habitants furent partis, le laissant seulement habité par les nuages grisâtres, mouvants au rythme du vent. Mes narines furent envahies d'une odeur salée, provenant de la mer turquoise, venant se mélanger aux larmes perlant sur mes yeux, sans que je ne puisse les en empêcher. Il commençait à être tard, le soleil laissant place à une lune dépourvue de lumière, dans un ciel s'assombrissant, petit à petit, s'imposant face à la clarté du jour. Un oiseau, seul, vint de poser face à moi, ses petits yeux brillant dans la nuit se posant sur moi, me défigurant, comme s'il comprenait ce qui me hantait au plus profond.
En espérant t’avoir aider
Je me trouvais là, assise sur l'herbe bordant cette falaise, une impression de grand vide si je m'approchait d'un pas. L'air frais me brûlait la peau,et venait caresser l'herbe tendrement jaunie par le soleil. Je touchais cette plaine doucement piquante, me rappelant la couverture dans laquelle j'avais pour habitude de dormir et de rêver à de meilleurs mondes. La pâleur de la boule de feu jaune éclairant le paysage présentait comme un nouvel espoir, était parfois cachée par des nuages de coton, me ramenant à la réalité. Les cuis-cuis des oiseaux trop maigres à mon goût, décorant le ciel, était le seul bruit que l'on pouvait percevoir. Soudain, rien , plus un bruit, le vide dans le ciel, ses habitants furent partis, le laissant seulement habité par les nuages grisâtres, mouvants au rythme du vent. Mes narines furent envahies d'une odeur salée, provenant de la mer turquoise, venant se mélanger aux larmes perlant sur mes yeux, sans que je ne puisse les en empêcher. Il commençait à être tard, le soleil laissant place à une lune dépourvue de lumière, dans un ciel s'assombrissant, petit à petit, s'imposant face à la clarté du jour. Un oiseau, seul, vint de poser face à moi, ses petits yeux brillant dans la nuit se posant sur moi, me défigurant, comme s'il comprenait ce qui me hantait au plus profond.
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