Réponse : Les infestations par les poux de tête (Pediculus capitis) continuent de se propager et d’empoisonner la vie, surtout chez les enfants d’âge scolaire du Canada et d’ailleurs (1). Une petite étude démographique (2) publiée en 2003 et menée auprès d’enfants du primaire du Royaume-Uni faisait état d’une prévalence de poux de tête de 2 % et d’une incidence annuelle de 37 %.
Contrairement aux poux de corps, les poux de tête ne représentent pas un danger pour la santé et ne dénotent pas de la malpropreté ou un vecteur de maladie.
La présente mise à jour de l’énoncé de 1996 (3) met en lumière l’évolution des produits pour traiter les poux de tête offerts au Canada, rend compte des échecs de traitements et analyse les études récentes qui fournissent des données probantes et le motif des recommandations de prise en charge.
Explications :