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Sagot :
repons on espagnol
espero que esto ayude!
La “guerra del agua” en Cochabamba (Bolivia), a inicios del 2000, opuso un movimiento social, liderado por la Coordinación para la Defensa del Agua y la Vida (CDEV), al gobierno nacional, en torno a la concesión de servicios de agua a un consorcio privado transnacional, Aguas del Tunari. ¿Qué política escalar le ha permitido al CDEV constituirse en un sujeto político capaz de imponer sus demandas y disputar el ordenamiento de las escalas de dominación? ¿Qué ha sido de este alto lugar de impugnación en la reorganización de las relaciones de poder resultante del cambio de hegemonía política nacional? Las respuestas a estas preguntas se basarán en el análisis de textos producidos por el CDEV (y el graffiti militante), asociados a un enfoque de tipo etnográfico. Además de observar los momentos de conmemoración de esta victoria popular, se realizaron entrevistas con actores de la "guerra del agua". Al llamar al “pueblo de Cochabamba” a defender el agua y su territorio, la estrategia discursiva del CDEV legitimó la reapropiación del espacio urbano por parte de las clases populares segregadas, obligando al Estado central a ceder temporalmente el control de la capital del departamento. Durante las siguientes décadas, el CDEV actualizó la memoria de la “guerra del agua” a través de la organización de eventos en Cochabamba, dimensión simbólica adscrita al lugar siendo objeto de un deseo de apropiación por parte del “Gobierno de los movimientos sociales” de Evo Morales. .
Encabezado de pagina
explicacion en français
espère que cela devrait t aidait !
La « guerre de l’eau » à Cochabamba (Bolivie), début 2000, a opposé un mouvement social, dirigé par la Coordination de Défense de l’Eau et de la Vie (CDEV), au gouvernement national, autour de la concession des services de l’eau à un consortium privé transnational, Aguas del Tunari. Quelle politique scalaire a permis à la CDEV de constituer un sujet politique capable d’imposer ses revendications et de contester l’agencement des échelles de la domination ? Quel a été le devenir de ce haut lieu de la contestation dans la réorganisation des rapports de pouvoir issue du changement d’hégémonie politique nationale ? Les éléments de réponse apportés à ces interrogations s’appuieront sur l’analyse des textes produits par la CDEV (et des graffitis militants), associée à une démarche de type ethnographique. Outre l’observation des moments de commémoration de cette victoire populaire, des entretiens ont été menés avec des acteurs de la « guerre de l’eau ». En interpelant le « peuple de Cochabamba » afin de défendre l’eau et son territoire, la stratégie discursive de la CDEV a légitimé la réappropriation de l’espace urbain par les classes populaires ségréguées, contraignant l’État central à céder temporairement le contrôle sur la capitale du département. Au cours des décennies suivantes, la CDEV a réactualisé la mémoire de la « guerre de l’eau » à travers l’organisation d’évènements à Cochabamba, dimension symbolique attachée au lieu faisant l’objet d’une volonté d’appropriation par le « gouvernement des mouvements sociaux » d’Evo Morales.
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