alinepoucheparadjou
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bonjour est ce que vous pouvez svp en espagnol
texte:¿Provocación artística?o que me llamaba la atención era la constancia con que los murales mexicanos en los Estados Unidos eran objeto de censura, controversia y obliteración'. ¿Los artistas eran simplemente unos provocadores, los pa-trocinadores eran unos cobardes', cómo podían ser tan ingenuos en pen-5 sar que Rivera, Orozco o Siqueiros no pintarían obras convencionales, de-corativas, al gusto de quienes las pagaban? Los Médicis3, gringos de Nueva York, Detroit y Los Ángeles, quizás pensaban que ordenar y pagar una obra de arte era suficiente para anular su intención crítica, hacerla inocua' [...].Miramos durante unos minutos el mural al fresco de Siqueiros, pin-to tado sobre la alta pared exterior de un edificio de tres pisos. La obra fue restaurada después de setenta años de ceguera y de silencio. En 1930 lo comisionó una rica dama californiana que había oído hablar del "Mexi-can Renaissance" y, ocupados Rivera en Detroit y Orozco en Dartmouth, contrató a Siqueiros y le preguntó cuál sería el tema de la obra.15 —La América tropical —contestó sin inmutarse el muralista de negra cabe-llera rizada y alborotada [..La patrocinadora tuvo una visión maravillosa, oyendo a Siqueiros, de palmeras y puestas de sol, rumberas cimbrantes5y gallardos charros', techos de tejas coloradas y decorativos nopales'. Firmó el cheque y dio el20 visto bueno.El día de la inauguración,con la vieja plaza repleta de autoridades y gente de sociedad, se corrió el velo' de América tropical y apareció el mural de una América Latina representada por un Cristo moreno, esclavizado y crucificado. Una América Latina crucificada, desnuda, agónica,colgando25 de una cruz sobre la cual rampaba9, con ánimo feroz, el águila del escudo norteamericano...La patrocinadora sufrió un desmayo'', las autoridades pusieron el grito en el cielo, Siqueiros había puesto a Los Ángeles en el infierno, y al día siguiente el mural amaneció totalmente cubierto de cal, ciego y segado'',30 invisible para el mundo, como si nunca hubiera existido. Nothing. Nada.

question:
1.Explica por qué parece contradictoria la postura de los mecenas "gringos" frente a los muralistas mexicanos. (I. 1-8)
2.Di todo lo que sabes sobre el mural y el pintor evocados en el texto (I. 9-14)
3.¿Qué imaginó la patrocinadora al enterarse del tema del mural? Califica su concepción del arte. (I. 26-30)
4.Cuenta qué reacciones provocó el mural cuando se desveló al público.​

Sagot :

mimi100062

Réponse :Bonjour, voilaaa : Provocation artistique? Ce qui a retenu mon attention, c'est la constance avec laquelle les peintures murales mexicaines aux États-Unis ont fait l'objet de censure, de controverses et d'effacement ». Les artistes étaient-ils simplement provocateurs, les sponsors étaient-ils des lâches, comment pouvaient-ils être si naïfs en pensant que Rivera, Orozco ou Siqueiros ne peindraient pas des œuvres décoratives conventionnelles, au goût de ceux qui les payaient? Les Medici3, gringos de New York, Detroit et Los Angeles, pensaient peut-être que commander et payer une œuvre d'art suffisait à annuler leur intention critique, à la rendre inoffensive. fresque murale de Siqueiros, peinte sur le haut mur extérieur d'un immeuble de trois étages. L'œuvre a été restaurée après soixante-dix ans de cécité et de silence. En 1930, il a été commandé par une riche dame californienne qui avait entendu parler de la «Renaissance mexicaine» et, tandis que Rivera était occupé à Détroit et Orozco était à Dartmouth, elle a embauché Siqueiros et lui a demandé quel serait le thème de la pièce. Amérique tropicale - le muraliste à la tête noire bouclée et ébouriffée a répondu imperturbable [.. Le sponsor avait une vision merveilleuse, écoutant Siqueiros, des palmiers et des couchers de soleil, des cimbrantes rumberas5 et gallardos charros ', des toits de tuiles rouges et des nopales décoratives' '. Il a signé le chèque et a donné son approbation. Le jour de l'inauguration, avec la vieille place pleine d'autorités et de mondains, le voile de l'Amérique tropicale a été dessiné et la peinture murale d'une Amérique latine représentée par un Christ sombre et asservi est apparue. crucifié. Une Amérique latine crucifiée, nue, agonisante, pendue25 à une croix sur laquelle l'aigle du bouclier nord-américain déambulait9 avec un esprit féroce ... Le sponsor a subi un évanouissement '', criaient les autorités au ciel, Siqueiros avait mis à Los Angeles en l'enfer, et le lendemain la peinture murale s'est réveillée totalement recouverte de chaux, aveugle et tondue '', 30 invisible au monde, comme si elle n'avait jamais existé. Rien. Rien.

question:

1. Expliquez pourquoi la position des mécènes «gringo» par rapport aux muralistes mexicains semble contradictoire. (I. 1-8)

2. Dites tout ce que vous savez sur la peinture murale et le peintre mentionnés dans le texte (I. 9-14)

3. Qu'imaginait la marraine lorsqu'elle a appris le thème de la peinture murale? Évaluez votre conception de l'art. (I. 26-30)

4. Dites quelles réactions la peinture murale a provoquée lorsqu'elle a été dévoilée au public.

Jespere t'avoir aider !!

Si tu n'as pas compris dis le mois en commentaire !!

a bientot !

Explications :

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