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Bonjour, je n'arrive pas a répondre a 2 question malgré avoir chercher

1. Au vers 22 (« Je t’offre une invitation dans cette grande fourmilière »), quelle relation le poète instaure-t-il avec le lecteur ?
2.Relevez une métaphore et expliquez-la.

Et voici le texte :

Si la campagne est côté face, je suis un produit du côté pile
Là où les apparts s’empilent, je suis enfant de la ville
Je ressens le cœur de la ville qui cogne dans ma poitrine
J’entends les sirènes qui résonnent mais est-ce vraiment un crime
D’aimer le murmure de la rue et l’odeur de l’essence
J’ai besoin de cette atmosphère pour développer mes sens

[Refrain] (bis) Je suis un enfant de la ville, je suis un enfant du bruit
J’aime la foule quand ça grouille, j’aime les rires et les cris
J’écris mon envie de croiser du mouvement et des visages
Je veux que ça claque et que ça sonne, je ne veux pas que des vies sages

Je trempe ma plume dans l’asphalte, il est peut-être pas trop tard
Pour voir un brin de poésie même sur nos bouts de trottoirs
Le bitume est un shaker où tous les passants se mélangent
Je ressens ça à chaque heure et jusqu’au bout de mes phalanges
Je dis pas que le béton c’est beau, je dis que le béton c’est brut
Ca sent le vrai, l’authentique, peut-être que c’est ça le truc
Quand on le regarde dans les yeux, on voit bien que s’y reflètent nos vies
Et on comprend que slam et hip-hop ne pouvaient naître qu’ici
Difficile de traduire ce caractère d’urgence
Qui se dégage et qu’on vit comme une accoutumance

Besoin de cette agitation qui nous est bien familière
Je t’offre une invitation dans cette grande fourmilière
J’suis allé à New York, je me suis senti dans mon bain
Ce carrefour des cultures est un dictionnaire urbain
J’ai l’amour de ce désordre et je ris quand les gens se ruent
Comme à l’angle de Broadway et de la 42ème rue

[Refrain] (bis)

Je me sens chez moi à Saint-Denis, quand y’a plein de monde sur les quais
Je me sens chez moi à Belleville ou dans le métro new-yorkais
Pourtant j’ai bien conscience qu’il faut être sacrément taré
Pour aimer dormir coincé dans 35 mètres carrés
Mais j’ai des explications, y’a tout mon passé dans ce bordel
Et face à cette folie, j’embarque mon futur à bord d’elle
À bord de cette pagaille qui m’égaye depuis toujours
C’est beau une ville la nuit, c’est chaud une ville le jour
Moi dans toute cette cohue je promène ma nonchalance
Je me balade au ralenti et je souris à la chance


Sagot :

Réponse :

1. "Besoin de cette agitation qui nous est bien familière

Je t’offre une invitation dans cette grande fourmilière"

Il s'agit d'une invitation adressée au lecteur tutoyé  pour qu'il se plonge dans l'agitation l'animation de la vile qui ressemble à une fourmilière où les citadins s'agitent et travaillent.

2. La grande fourmilière est une métaphore pour la ville animée. Tout y bouge, tout remue, tout travaille.

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