Donc j'ai essayé de réécrire ton histoire en suivant les commentaires donnés par ton professeur, rajoutant des détails et en le mettant dans mon style d'écriture.
Je te conseille de le lire et de changer les détails qui ne te plaisent pas.
J'ai mis une forme de dialogue mais qui est susceptible d'être acceptée, et sinon, pour en faire d'autre, il faut généralement aller à la ligne avec un - devant, exemple :
- Oh bonjour.
Et pour indiquer que c'est une autre personne qui parle, le refaire. Ex :
- Oh bonjour. Tu vas bien ?
- Oui merci et toi ?
( PS : Si il y avait un texte à lire pour le faire je ne le connais pas donc il est possible que ça manque de cohérence )
Mon texte :
Le Seron un jour décide d'aller au parc où il trouve une carte, la carte de Merlin. Après une hésitation, il choisit de la prendre et de continuer sa route. Puis en marchant, il constate qu'à 10 km du parc, il y a une cabane abandonnée ou personne ne vit ! Le Seron prend la décision d'y aller et, pendant qu'il s'y rend, il rencontre une dame à l'apparence singulière. La femme était une personne laide et cruelle qui avait ensorcelé quelqu'un en lui donnant une apparence de squelette. Elle lui demande de lui donner la carte qu'il avait dans ses mains mais le Seron refuse en prétextant qu'il doit forcément aller dans l'étrange cabane, puis continue son chemin et l'abandonne sans se retourner vers elle.
En allant dans la direction la cabane, il remarque une jeune fille à l'air souriant et pourtant habillée de loques, comme si elle vivait dans la rue depuis longtemps,qui lui parle gentiment.
Le Seron constate que cette jeune fille, contrairement à la dame, est très agréable.
Se baissant pour lui parler en face, il lui demande si, par ces temps d'hiver, elle n'avait pas froid, ce à quoi elle répond sans perdre son sourire qu'elle peut parfois aux gens de lui donner des couvertures. Puis perdant son enthousiasme, ajoute qu'aucun en plusieurs années n'avaient accepté, à l’exception d'une vieille dame, mais qui était morte il y a peu.
Choqué par la dure vie que cet être si faible avait enduré, il lui propose de venir avec lui vers sa destination, la cabane, pour discuter et faire connaissance. Ce qu'elle accepte aussitôt, et sur ces paroles, les deux amis partent vers cette cabane. En chemin, elle lui apprend qu'elle était le fruit d'un mariage forcé et que, aucun de ses parents n'avaient voulu d'elle, la mettant à la porte le jour de ses 5 ans avec pour seule nourriture le croissant encore chaud qu'elle avait voulu manger.
Arrivés à la cabane, le Seron lui tend de la nourriture, qu'elle mangea aussitôt.
Ne voulant pas l'abandonner à la rue, il la fait dormir ici et veille à ce qu'elle ne manque de rien.
Le deuxième jour, un tigre féroce aux griffes acérées entre dans la cabane et lacère tout ce qui est à sa portée. Ses yeux étaient remplis d'une très grande rage et, le Seron comprend vite qu'en le laissant en vie, ce tigre ne pourrait être qu'un danger pour lui et son amie. Alors, cette dernière pris un fusil de chasse trouvé dans l'habitation et, comme si c'était naturel, tira en plein de le cœur de l'animal.
Et, pensant que, si un animal était rentré ici, un autre pourrait recommencer un jour, le Seron décrète que ce n'était pas un endroit sûr et préfère partir de la ville sans avoir de but.
Réalisant que ce n'était pas forcément l'envie de la jeune fille, il lui demande si elle veut l’accompagner, ou bien que leur chemin se sépare.
Elle choisit sans même prendre le temps d'analyser la situation, de rester avec lui, peu importe les épreuves.
Et c'est ainsi que, sous un soleil couchant, les deux amis, main dans la main, poursuivent leurs aventures.
