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Bonsoir j'ai vraiment besoin d'aide!!!!!Je suis en troisième et j'éprouve des difficultés pour un devoir en français.voici la feuille.J'ai vraiment essayer plusieurs fois mais je n'y arrive pas.
merci beaucoup d'avance à la personne qui accepteras de me consacrer du temps



Consignes : après avoir lu attentivement l’extrait du texte d’Albert Camus, La peste, vous rédigerez le sujet de réflexion proposé.

Vous veillerez, dans la mesure du possible, à faire le sujet dans les conditions du brevet, après lecture du texte, soit 1h30. Vous avez, comme au brevet, le droit d’utiliser le dictionnaire.

Sujet : La littérature, le cinéma, les séries, la bande dessinée, la peinture, ont souvent évoqué des catastrophes environnementales ou épidémiques. Qu’est-ce qui, selon vous, justifie l’intérêt d’aborder ces thématiques et quels sont les effets sur les lecteurs et les spectateurs ?

Texte :

L’histoire se déroule en 1940. Elle a pour théâtre Oran durant la période de l’Algérie française. Le roman raconte sous forme de chronique la vie quotidienne des habitants pendant une épidémie de peste qui frappe la ville et la coupe du monde extérieur.

Le mot de « peste » venait d’être prononcé pour la première fois. À ce point du récit qui laisse Bernard Rieux derrière sa fenêtre, on permettra au narrateur de justifier l’incertitude et la surprise du docteur, puisque, avec des nuances, sa réaction fut celle de la plupart de nos concitoyens. Les fléaux, en effet, sont une chose commune, mais on croit difficilement aux fléaux lorsqu’ils vous tombent sur la tête. Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus. Le docteur Rieux était dépourvu, comme l’étaient nos concitoyens, et c’est ainsi qu’il faut comprendre ses hésitations. C’est ainsi qu’il faut comprendre aussi qu’il fut partagé entre l’inquiétude et la confiance. Quand une guerre éclate, les gens disent : « Ça ne durera pas, c’est trop bête. » Et sans doute une guerre est certainement trop bête, mais cela ne l’empêche pas de durer. La bêtise insiste toujours, on s’en apercevrait si l’on ne pensait pas toujours à soi. Nos concitoyens à cet égard, étaient comme tout le monde, ils pensaient à eux-mêmes, autrement dit ils étaient humanistes : ils ne croyaient pas aux fléaux. Le fléau n’est pas à la mesure de l’homme, on se dit donc que le fléau est irréel, c’est un mauvais rêve qui va passer. Mais il ne passe pas toujours et, de mauvais rêve en mauvais rêve, ce sont les hommes qui passent, et les humanistes en premier lieu, parce qu’ils n’ont pas pris leurs précautions. Nos concitoyens n’étaient pas plus coupables que d’autres, ils oubliaient d’être modestes, voilà tout, et ils pensaient que tout était encore possible pour eux, ce qui supposait que les fléaux étaient impossibles. Ils continuaient de faire des affaires, ils préparaient des voyages et ils avaient des opinions. Comment auraient-ils pensé à la peste qui supprime l’avenir, les déplacements et les discussions ? Ils se croyaient libres et personne ne sera jamais libre tant qu’il y aura des fléaux.

Même lorsque le docteur Rieux eut reconnu devant son ami qu’une poignée de malades dispersés venaient, sans avertissement, de mourir de la peste, le danger demeurait irréel pour lui. Simplement, quand on est médecin, on s’est fait une idée de la douleur et on a un peu plus d’imagination. En regardant par la fenêtre sa ville qui n’avait pas changé, c’est à peine si le docteur sentait naître en lui ce léger écœurement devant l’avenir qu’on appelle inquiétude. Il essayait de rassembler dans son esprit ce qu’il savait de cette maladie. (…)
Mais le docteur s’impatientait. Il se laissait aller et il ne fallait pas. Quelques cas ne font pas une épidémie et il suffit de prendre des précautions. (…)

Sagot :

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Salut, je viens d'écrire ça mais je ne suis pas sur à 100% que ce soit entièrement correcte. Donc je te conseil de bien lire avant se que j'ai écrit et de modifier des éléments. Je ne sais pas s'il fallait faire la conclusion donc libre à toi de la faire ou non.

Pour t'expliquer rapidement comment j'ai procédé, d'abord j'ai séparé en deux ta problématique en me servant de chaque questions comme ligne directive. après j'ai trouvé environs 2 réponses pour chaque questions et j'ai trouvé ensuite environs 2 exemples pour chaque réponses et quand je n'ai pas trouvé d'exemple alors j'ai développé l'idée. désolé c'est vraiment pas très claire, c'est la technique utilisé pour faire un commentaire de texte en seconde. j'espère que ça pourra t'aider :)

     "Le mot de « peste » venait d’être prononcé pour la première fois" ainsi sont les mots d'Albert camus dans l'extrait de son livre "La peste". L’histoire se déroule en 1940. avec comme protagoniste Oran durant la période de l’Algérie française. Le roman narre sous forme de chronique le quotidien des habitants vivant dans une ville envahie par la peste ce qui les coupent du monde extérieur. nous verrons dans un premier temps qu'est ce qui justifie l’intérêt d'aborder ces thématiques, puis quels sont les effets sur les lecteurs et les spectateurs.

L’intérêt à aborder des sujets engagés peut être nourris par l'envie d'informer les lecteurs et spectateurs sur les évènements passés comme en l'occurrence pour camus, informer les gens sur le mode de vie durant l'épidémie de la peste en  1940, à travers les épopées de ses personnage,. il souhaite sous la forme de roman instruire les personnes sur les conditions de vie des victimes de la peste. Il insiste sur le mot "Fléaux"(l.4,5,16,17,23 et 27) afin de traduire la façon dont les habitants percevaient cette épidémie. de plus il compare en quelque sorte le mot fléau à celui de guerre "Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres" (l.5-6)  et explique que les individus étaient tout aussi dépourvu lorsque la peste est arrivée que lorsque la guerre a été déclarée.

       Ensuite, chacun peut à sa manière apporter un soutient dans un combat. C'est ce que font les artistes engagés en utilisant leur talent pour faire passer un message, afin d'informer un maximum de personnes et tous types de publics. Beaucoup ont donc user de leur don pour s'engager et prendre part aux différentes causes comme Victor Hugo écrivain qui s'est battu pour la liberté et contre toutes formes de censure ainsi que pour l'abolition de la peine de mort, mais aussi comme Charlie Chapline réalisateur et acteur dénonçant le régime nazi et en l’occurrence Albert Camus qui s'est aussi battu pour la justice et la liberté.

Les effets sur les lecteurs et spectateurs sont multiples et ils sont propres à chacun. cependant la plus part du temps ils font prendre conscience de l'existence et surtout de la réalité des problèmes comme par exemple les sujets environnementaux ou d'inégalités. Après une prise de conscience cela peut motiver les lecteurs et spectateurs à s'engager dans cette cause ou du moins à y faire plus attention, et enfin cela peut amener les lecteurs et spectateurs à s'apercevoir de nos conditions de vie presque idylliques si on les compare par exemple à celles de l'époque de la peste qui était bien inférieure aux nôtres.