Réponse :
Bonjour, alors je vais te donner quelques réponses, en espérant qu'elles puissent t'etre de bonne aide.
Réécriture : À l'extérieur du périmètre de l'usine, les ouvrières s'étaient défoulées sur des bagnoles. Elles en avaient esquinté et retourné une demi-douzaine et peint des slogans sur le camion frigo. Notre BMW avait été épargnée. [...] Nous mimes (le i avec un accent circonflexe, je ne sais pas pourquoi il ne le prend pas) le contact et démarrames (le 2e a avec un accent circonflexe), avant meme (le 1er e avec un accent circonflexe) d'avoir allumé les phares.
1) Le narrateur est "le directeur d'une entreprise de sécurité". Le point de vue est interne puisqu'il y utilisation du pronom personnel "je", nous suivons les pensées du personnage.
2) L'histoire se déroule dans "une usine délocalisée dans les pays de l'est", pendant la nuit : "une nuit", "avant meme d'avoir allumé les phares".
3) Les deux groupes présents sont les déménageurs et les vigiles ET les ouvriers. (les déménageurs et les vigiles forment un seul groupe). Ils se battent parce que "les ouvriers refusent de perdre leur travail" et les vigiles sont là pour protéger les déménageurs en cas d'envahissement ou d'émeutes.
4) Les caractéristiques du roman policier que nous pouvons deviner est, en premier lieu, "un meurtre". Deuxièmement, dans les romans policiers, il y a des témoins, ici, le témoin est "le directeur d'une entreprise de sécurite". Dernièrement, il y a beaucoup d'action dans ce type de roman, nous assistons ici à un déchennement qui tourne mal.
5) Une guerre civile est une guerre entre les habitants du meme pays. Ici, ce sont bien des habitans d'un meme pays puisqu'ils ont, ou avaient tous un travail. Les ouvriers se battent pour quelque chose, ils ont un but. Dans les guerres civiles, prenons comme exemple la Révolution Française, il y avait deux camps, ce qui reliait ces deux camps était qu'ils avaient tous deux un idéal. Ces ouvriers et vigiles se battent entre eux, pour un idéal, pour une idéologie, et engendrent un meurtre. Nous pouvons donc dire que la scène ressemble à une petite guerre civile.
6) Le niveau de langue est familier : "guelai-je", "ces conneries", "le type".
7) Le narrateur est témoin d'"un meurtre". Il est appeuré. Le champs lexical de la peur est : "pétrifié", "haletais" et "coupé le souffle".
8) Je pense que c'est à toi d'y répondre.
9.a) Quand le narrateur prend la parole il souhaite que tout le monde se taise ainsi que parler calmement pour ne pas que cela finisse mal.
b) Je ne suis pas sure donc je ne vais pas répondre à cette question.
10) Le narrateur n'est pas entendue parce que les ouvriers ont une idée ancrée dans leur tete et qu'ils sont bornés. La critique implicite qu'exprime cette histoire est que la classe ouvrière est moins instruite donc parle plus avec les poings, tandis que ceux qui ont été instruits, comme ici, "le directeur d'une entreprise de sécurité", préfèrent parler pour résoudre les problèmes. Les instruits préfèrent communiquer avec les mots plutot que la violence.
Pour la rédaction j'estime que c'est un travail personnel et que c'est à toi de le faire. Voilà, j'espère que ça t'aura aider et bon courage pour la suite ! ;)
