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Bonsoir, j'ai une dissertation a faire sur "nos convictions morales sont-elles le simple reflet des opinions de notre epoque"

Pourriez vous m'aider si vous l'avez deja fait ou avez des idées. Merci!!

Sagot :

Tenma

Réponse:

Je te donne une reponse, un peu brouillon en cas fe question dis le moi

Explications:

Les valeurs moral tel que l'honnêteté, le courage ont elle un lien avec la liberté. Est ce que je les ai choisis par moi-même ou me sont elles imposer.

1. Mes valeurs morales en tant qu'elles sont une valeur, sont un mode de vie, semble relever d'un choix de mon choix autant qu'elle implique la liberté d'adhérer à ces valeurs. Un choix suppose une inclination articulaire. Il y'a des valeurs morales qu'en supprimant tout choix.

Les valeurs morales sont la raisons. (Qui se soumet par respect à la raison.

Volonté bonne l'intérêt pour lesquels on realiste des actions.

Exemple du boucher Kant ajoute immédiatement qu'il n'a peut-être jamais eu de bonne action sur terre, car les conduites des autres nous sont donnés du dehors de l'extérieur, mais cela vaut aussi pour nous même "nous ne pénétrons jamais jusqu'au mobile secret de nos actes"

Pour que la loi que la volonté se donne à elle-même soit morale, elle doit valoir pour tous. Cette loi en même temps que le sujet la produit, doit en même temps si soumettre. Plus précisément elle émane du sujet, en tant qu'il est un sujet universel doué d'une raison pratique, qu'il en joint de subordnner une maxime (règle d'action individuelle) au critaire universelle.

(Kant)

D'une « morale » l'autre : la provenance du devoir.

2. L'ativisime agir et réaliser des actions sans savoir pourquoi. La tradition.

La loi c'est ce qui détruit l'indivualite. Agir par ignorance et un eternel hier. Et un absence de choix individuelle. L'autre de la liberté et du choix. Une morale collective et du troupeau. Individualité= imprévisibilite. La promesse. vengeance des faibles. Dire cela, c'est passer de la forme de la morale à son contenu : il s'agit de voir maintenant, non plus seulement qu'elle nous commande, mais ce qu'elle nous commande. Cette culpabilisation, c'est l'instrument, l'organe, qui permet aux faibles de dominer les forts, d'étendre leur toile pleine de ressentiment et de vengeance autour d'eux. C'est par cet instrument qu'il vont déployer leur domination. En quoi consiste-t-elle cette culpabilisation ? Tout simplement, elle consiste à dire que quelqu'un a fait du mal et qu'il n'aurait pas dû et, surtout qu'il aurait pu ne pas. La

culpabilité suppose, en ce sens, la responsabilité, le libre-arbitre. Le jugement, la morale ça crée tout simplement la mauvaise conscience. La torture morale qui plie les individus en les rendant tous semblables aux autres introduit en chacun de nous la mauvaise conscience.

Eh bien, des possibilités à inventer. Nous ne cessons jamais de poser de nouvelles valeurs, de nouveaux modes de vie ou de nouvelles tables de la loi

(Nietzsche).

Aristote : De la morale à l’éthique.

La vertu, c'est donc, ce bon accomplissement, qui nous permet d'arriver au (bonheur). Donc vertu moral et vertu intellectuelle. Le terme pour moral c'est, ici, tout simplement, éthique. Donc, vertu éthique : ce qui a trait à l'art de vivre.

Un comportement éthiquement vertueux cela s'acquiert par habitude. Les valeurs morales qui ne dépendent plus de choix, mais une morales de l'action qui dépendent de mon choix éthique.

L'exemple du sport, du reste, est bon : Il y a, dans le sport et la performance sportive, tout cet art de l'entrainement, ployer le corps à des habitudes qui l'amène à faire des choses insoupçonnées, et d'autre part,

un attachement à la nature. Ce qui veut dire que, d'une part, nous supposons une capacité du corps humain, capacité naturelle (qui comporte aussi des limites), capacité à sauter, en général, mais cette capacité nous laisse suffisamment de jeu pour pouvoir être travaillée, modifiée, ou, plutôt, amenée à son acmé, à son optimum, par l'exercice, qui amène des habitudes, qui amène une performance.

Prenons un exemple: le courage qui est la bonne disposition à agir face au danger, dans la peur : éprouver la peur, faire la bonne expérience de la peur, savoir agir malgré ou dans la peur. Celui-ci risque de disparaitre dans deux cas : soit, précisément, par défaut, lorsque nous avons peur de tout et nous fuyons devant tout et n'importe quoi, et c'est la lâcheté, soit par excès, lorsque nous n'avons plus peur de rien, et c'est la témérité.

(Aristote)

Kant

Nietzsche

Aristote

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